Voici la transcription de la vidéo:
Bonjour et bienvenue sur la chaîne J’affiche complet, la chaîne qui aide les loueurs saisonniers et les gestionnaires d’hébergement saisonniers à devenir des entrepreneurs serein et ultra rentable.
Aujourd’hui je vous propose qu’on parle justement d’entrepreneuriat l’entrepreneuriat c’est quelque chose qui me passionne maintenant depuis 5 ans je savais que je serais entrepreneur un jour et puis le fait de passer le cap m’a permis de réaliser un certain nombre de choses pour lesquelles je me suis dit purée j’aurais vraiment voulu savoir ça avant de me lancer en entrepreneuriat peut-être que j’y serai allé quand même mais j’y serais allé en abordant les choses différemment donc je voulais vous partager les trois choses que j’aurais aimé savoir en entrepreneuriat avant de me lancer la première chose c’est que travailler dur ne suffit pas c’est une condition nécessaire mais pas suffisante comme on dirait en mathématiques travailler dur ne suffit pas moi historiquement j’ai toujours été quelqu’un qui travaille énormément je pense que j’aime ça et j’aime m’épanouir dans le travail quand la petite anecdote c’est que quand j’étais salarié sur mon premier poste chez CBS outdoor vous pouvez regarder sur Linkedin j’étais toujours la fille qui travaille hyper tard et les collègues avaient transformé mon nom de famille en verbe pour dire travailler tard le soir c’était ripocher ah est-ce que tu ripoches ce soir ça voulait dire est-ce que tu travailles tard ce soir donc c’est vous dire à quel point j’étais connu pour être la personne qui travaille beaucoup euh donc à à l’heure d’envisager l’entrepreneuriat je me suis dit oui c’est vrai qu’il faut beaucoup travailler quand on est entrepreneur mais c’est vraiment pas ça qui va m’impressionner et ça ce sera vraiment euh euh du gâteau quoi et et je me suis rendu compte assez vite que travailler fort travailler dur ça ne suffit pas il faut savoir déléguer il faut savoir prioriser et il faut savoir et ça je vais pas vous mentir c’est un truc que je maîtrise pas encore vraiment bien il faut savoir renoncer à certaines choses avec ces trois piliers là on peut du coup se dire qu’on travaille ce qu’ils appellent travailler intelligemment donc pas uniquement fort mais aussi intelligemment s’assurer qu’on travaille aux bons endroits sur les bonnes choses donc conditions nécessaires pour moi il y a pas d’entrepreneuriat sans charbonnner un minimum je vois pas cette option là possible ou alors ça veut dire que les choses vont mettre beaucoup de temps à se lancer ça va mettre énormément de temps de pouvoir se rémunérer de l’activité c’est une option qui peut être réaliste si on a les moyens financièrement mais sinon si on veut pouvoir vivre de son activité en général il faut quand même charbonner assez fort mais pas que ça donc ça c’était la première la première chose que je voulais vous vous partager la deuxième chose que je voulais vous partager c’est que je trouve quand même que l’entrepreneuriat c’est émotionnellement très intense euh on a tendance à à associer le côté émotionnel plutôt aux femmes et pas vraiment aux hommes dans l’inconscient collectif on va dire en entrepreneuriat il y a un truc c’est que tout le monde fait des hauts et des bas émotionnels et tous les collègues entrepreneurs masculins à qui j’en parle me disent pareil émotionnellement c’est ereintant parce que alors c’est très vrai au début au début il y a des jours où on se dit mais en fait mon dieu ce que je fais c’est c’est complètement nul euh je vais finir sous les ponts et jamais de ma vie je pourrais manger grâce à cette activité-là et puis le lendemain on se dit ah c’est sûr je suis le prochain Bill Gates mon truc va cartonner c’est absolument incroyable euh donc on passe de haut en bas comme ça constamment et en fait la réalité c’est que c’est moins intense par la suite mais ça continue à rester parce que si l’activité se développe le niveau des responsabilités augmente aussi et on a certains moments où on se dit purée là on est vraiment dans la panade donc on prend sur soi émotionnellement c’est difficile puis il y a d’autres moments où en fait les planètes sont alignées il y a plein de choses hyper positives qui nous arrivent on dit ah mais c’est cool en fait la la croissance va arriver plus facilement ça va être chouette on a des jolies perspectives et cetera et ça c’est assez fatiguant et je trouve que c’est bien de le savoir avant parce que déjà ça permet de se dire ben en fait c’est pas moi qui suis une girouette complète en fait c’est quelque chose de très commun et encore une fois je trouve c’est important de dire c’est au-delà du genre en fait parce que c’est c’est relayé des hommes et des femmes donc ça permet de se dire B en fait il faut juste apprendre à le gérer l’accepter ça fait partie du ça fait partie du job et de et de l’équation et le troisième point que je voulais vous partager et ça ça a été une réelle découverte aussi en me lançant dans l’entrepreneuriat c’est qu’il y a un truc addictif dans ce dans ce taf là c’est assez incroyable c’est-à-dire que c’est c’est aussi dur que c’est addictif c’estàdire que quand quand on avance petit à petit et en fait t tous les jours il y a des avancées des évolutions commencez à travailler avec des personnes qui travaillent avec nous c’est c’est un truc qui (04:26) est un une une gratitude immense euh de voir en fait les clients satisfaits ça nous donne une gratitude immense évidemment tous les jours ne sont pas euh roses et c’est pas un long fleuve tranquille euh loin d’ailleurs de ce que les médias peuvent nous transmettre comme image de l’entrepreneuriat euh mais infé euh voir ce que ensemble on arrive à accomplir euh voir euh les clients qui sont contents tout ça c’est des trucs qui sont hyper addictifs et on a envie d’aller encore plus loin on a envie de de pouvoir aussi euh se développer sur d’autres aspects enfin c’est c’est comme moi j’ai souvent cette impression d’être un peu comme le hamster dans sa roue ça n’en finit pas j’ai toujours envie d’être au prochain au prochain projet la prochaine idée que qu’on a pour passer un step dans notre fonctionnement interne avec les clients et cetera c’est un truc je pense dans lequel et ça c’est pareil j’en parle aussi pas mal avec mes mes collègues entrepreneurs masculins et féminins autour de moi il y a vraiment ce truc de ouais d’avoir envie de de continuer à voir ce que ce que le projet ce que la structure peut donner est dans le pays dans lequel on exerce ou dans d’autres pays et ça ça donne vraiment envie de de continuer chaque jour quoi et ça je m’y attendais pas alors j’ai résolu mon addiction au sucre il y a peu de temps mais on va pas se mentir je crois que là j’en ai une vraie deuxème addiction avec l’entrepreneuriat je crois que je serai probablement jamais sauf si malheureusement des conditions économiques un jour M oblige évidemment je suis pas suffisamment bête pour rester sans rien faire en me disant que non non je voudrais jamais être salarié pas du tout mais si la vie me le permet je pense que jusqu’à ma mort je serai entrepreneur aujourd’hui c’est c’est une certitude voilà j’espère que ces trois éléments là pourront vous aider pourront peut-être mon idée c’est de pouvoir aussi se se déculpabiliser par rapport à ces choseslà quand on les découvre on peut se dire mais c’est vraiment moi qui suis catastrophique alors que non pas du tout c’est très commun je voulais vous livrer ces billes là aussi pour vous permettre d’y réfléchir si vous hésitez à vous lancer en entrepreneuriat si vous avez aimé cette vidéo et ben n’hésitez pas à liker la partager me laisser votre avis aussi par rapport à ça surtout s’il est divergent par rapport à ce que j’ai dit là ça m’intéresse énormément et puis je vous retrouve très bientôt pour une prochaine vidéo