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Location saisonnière : 6 points que j’aurai aimé savoir avant de commencer

Location saisonnière : 6 points que j'aurai aimé savoir avant de commencer

⭐ Location saisonnière : 6 points que j’aurai aimé savoir avant de commencer

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Bonjour, et bienvenue sur la chaîne J’affiche Complet, la chaîne qui aide les loueurs saisonniers, les sous-loueurs professionnels et les conciergeries de location saisonnière à devenir des entrepreneurs sereins et ultra-rentables. Aujourd’hui, je vais vous partager un petit morceau de ce qui a été vécu en tant que loueur saisonnier, et les choses que j’aurais bien aimé connaître avant. Je vais vous partager deux choses : les choses que moi, j’aurais bien aimé savoir avant par rapport à l’expérience que j’ai eue, mais aussi les choses que je pense qu’il faut savoir aujourd’hui quand on veut se lancer en location saisonnière quand on projette d’investir, de changer de vie, de créer un gîte, une maison d’hôte, ou d’investir en immobilier, d’acheter un appartement une maison, qu’on veut exploiter en location courte durée. À mon avis, il y a des choses à avoir en tête, donc je suis ravie d’en parler avec vous aujourd’hui. Si ça vous intéresse, et si vous êtes sur le point de vous lancer, restez avec moi, ça va vous intéresser. Quand vous arrivez en Live avec moi, n’hésitez pas à saluer, c’est toujours un plaisir. Moi je suis vraiment ravie de passer ce moment avec vous. C’est vraiment un plaisir.  –         

  • Bonjour, Najat, j’espère que tu vas bien ! 
  • Bonjour Romain, bienvenue.  
  • Bonjour, Marie-Jo, bienvenue.  
  • Bonjour Maxime, bienvenue à toi.  
  • Bonjour à toi conciergerie Bassin, bienvenue.  
  • Bonjour, bienvenue à toi.  
  • Bonjour Priscilla, bienvenue.  

On a de plus en plus de monde sur YouTube ! Je pense qu’il y a vraiment un intérêt pour YouTube. Je ne sais pas si à un moment donné, je ne ferai les Live que sur YouTube. Pour l’instant, je reste encore sur Facebook, parce qu’on a aussi notre groupe Facebook. Si vous n’en faites pas partie, n’hésitez pas à le faire, à vous inscrire. Juste en dessous, il y a le lien. Vous allez rejoindre un groupe de personnes qui, comme vous, cherche à devenir des entrepreneurs sereins et ultras rentables. Puis vous recevrez, en plus, un bonus en inscrivant sur les deux groupes Facebook : le bonus des six erreurs à ne pas faire quand on fait ses prix. C’est gratuit, c’est sympa, on rencontre des gens sympas : que dire de mieux ? Je ne sais pas !    

  • Najat me dit : ”merci, ça va bien.” Écoute, je suis ravie !  
  • Bonjour Alan, bienvenue.   
  • Bonjour Anna, bienvenue. 
  • Bonjour Mohamed, bienvenue à toi.  

On va parler aujourd’hui des choses que j’aurais bien aimé savoir avant de me lancer en location courte durée, et puis je vais aussi vous parler, comme je disais, des choses qui, à mon sens, peuvent être des choses à savoir aujourd’hui avant de se lancer en courte durée. Je crois que j’avais six choses.  

Au final, j’ai pensé à plein d’autres choses, entre temps, sur mon expérience personnelle. Pour rappel… enfin pour rappel, comme si on devait tous connaître par cœur ma vie : absolument pas, évidemment. Juste pour ceux qui n’auraient pas eu l’occasion de le voir dans un précédent contenu, j’ai été loueur saisonnier pendant un an avec mon mari. En fait, quand on a acheté notre résidence principale avec mon mari, je suis un petit peu tombé dans la marmite de l’immobilier, et je me suis rendu compte qu’en fait, quand on cherche à investir en immobilier, commencer par la résidence principale, ce n’est pas forcément la meilleure idée. Mais c’était déjà fait. On était déjà chez le notaire, en train de signer le crayon à la main. Donc ce que j’avais proposé à mon mari — on a fait trois chambres dans l’appartement qu’on avait acheté — c’est de mettre deux sur les trois en location saisonnière. Donc on est devenu une maison d’hôtes. Sur AIRBNB, ça s’appelle une chambre chez l’habitant. On était comme une maison d’hôtes, à la différence, peut-être, par rapport à certaines maisons d’hôtes, c’est qu’on était vraiment dans une vraie proximité, peut-être même que le mot promiscuité serait adapté, parce que pour nous, vraiment, on avait sur les trois chambres, deux chambres pour nos invités, une chambre pour nous, et en fait, l’ensemble du reste de l’appartement était partagé avec eux : la salle de bains a été partagée avec eux, la cuisine aussi. C’est important pour la suite de ce que je vais vous raconter. Donc voilà, on a fait de la location saisonnière de cette façon-là. C’était une expérience hyper enrichissante. En démarrant, j’avais conscience que j’avais évidemment 1 800 choses à apprendre et 1 800 points sur lesquels m’améliorer et travailler. Mais il y avait quand même un sujet sur lequel je me suis dit : « ah non, mais ça, ça va, je sais faire., c’étaient les prix. Je me suis dit :  « Les prix, là, quand même, ça fait 10 ballets que tu fais ça pour tes employeurs. Tu sais faire les prix. » 

Et en fait, la chose que j’aurais aimé savoir avant de démarrer, c’est que déjà, première chose, c’est aussi un peu les erreurs que j’ai faites, j’ai mis un prix de lancement beaucoup trop longtemps. J’ai bien eu le réflexe, qui est vertueux, et que je recommande toujours, de démarrer avec un prix plus attractif, ça c’est vrai, et ce, surtout, si vous voulez distribuer sur des plateformes telles que Booking et AIRBNB qui vont demander des avis à vos voyageurs. Donc ça vous permet, au début, de cumuler les avis, puis de cumuler des avis positifs. Donc ça, c’est toujours quelque chose qui est vertueux. Mais il faut le faire jusqu’à accumuler trois -quatre-cinq avis, mais c’est tout. Moi, j’avais vraiment mis à prix beaucoup plus bas, et je l’avais mis pendant très longtemps. Je l’ai mis pendant deux mois sans discontinuer. Donc c’était vraiment totalement excessif. Donc ce que j’aurais aimé savoir, oui, c’est une bonne idée de faire un prix plus bas, mais il ne faut pas le tartiner pendant deux mois du calendrier. Le mettre pour les premières réservations est amplement suffisant, et puis après la machine est lancée. La parenthèse par rapport à ça, ça vous aide aussi par rapport à l’algorithme de ces sites-là, parce que ces sites-là vont juger l’arrivée de votre annonce extrêmement rapidement, c’est-à-dire qu’ils vont regarder sur les premiers jours comment se comportent les voyageurs : est-ce qu’ils cliquent sur votre annonce ? Est-ce qu’ils réservent votre annonce ? Et ils se forgent une conviction sur la qualité de ce que vous faites en quelques jours, comme ça, en un clin d’œil. Donc il faut être très bon, inciter à cliquer et inciter à réserver. Ça, c’est la première chose.  

La deuxième chose, qui sort un peu du revenue management, mais je trouvais que c’était intéressant de vous en parler quand même, c’est que la location saisonnière, surtout là, je m’adresse aux personnes, soit qui veulent mettre une chambre chez eux en tant que loueur saisonnier, soit des personnes qui veulent créer une maison d’hôtes. C’est quelque chose, c’est un métier qui n’est pas anodin. Déjà, j’emploie le mot métier. Accueillir des gens, c’est quelque chose qui est très différent de tout autre tas de business. Ce n’est pas du e-commerce, ce n’est pas des cryptomonnaies, il y a un truc humain dans ça, et ça reste un des fondamentaux de notre travail, même si en automatise, même si on professionnalise les choses, qu’on a une équipe, etc. In fine, on gère de l’humain, on gère des gens, avec les choses vraiment magiques que ça recouvre, avec les difficultés que ça peut aussi recourir. Ça, c’est indéniable. Avec la pandémie, on a moins de personnes qui viennent de l’étranger, et d’autres pays. Mais nous, par exemple, comme on est en île de France, avant la pandémie, on avait vraiment beaucoup de gens qui venaient de l’étranger, donc c’était extrêmement riche, et on a adoré. On avait beaucoup de pays du monde qui sont passés dans notre salon, et on a eu aussi beaucoup de situations de guerre culturelle. Pourtant, je pense avoir beaucoup voyagé, mais ça nous pousse dans nos retranchements, nos étonnements. Je vais juste vous donner une anecdote. J’espère que ça vous fera sourire. En fait, j’avais des voyageurs coréens qui étaient chez nous à ce moment-là. Le truc, c’est qu’on est sur place, donc c’est vrai qu’on voit tout ce qui se passe. Et donc, à chaque fois que je rentrais dans ma salle de bain, je voyais une couche d’eau comme ça. Je me disais : « Mais que se passe-t-il ? » Et c’était toujours après qu’ils soient passés. C’était deux jeunes garçons qui voyageaient après leurs études. Je me disais : « Mais que se passe-t-il ? »Une fois… deux fois… et donc après, je suis allée les voir en disant : « Mais est-ce que ça va avec la salle de bain ? Vous avez tout ce qu’il vous faut ? » Ils disent : « Oui, tout va bien, merci ». Je leur dis :  « Je crois qu’il y a de l’eau dans la salle de bain. » Après du coup, ils me disent :  « Oui, oui. » Mais comme l’anglais était difficile, on n’arrivait pas trop à se comprendre. Donc ce que j’ai fait, c’est que je suis allée chercher en Corée comment sont les salles de bains. Je me suis dit : » Il faut que je comprenne ». Parce que je me suis dit quand même : « Il n’y a ne pas avoir le compas dans l’œil, et il y a mettre de l’eau dans toute la salle de bain. » Il y a quand même une grosse différence entre les deux. Et du coup, en cherchant, en fait, je me suis rendu compte qu’en Corée, les salles de bains fonctionnent d’une façon totalement différente des salles de bains qu’on peut trouver notamment en France. C’est que vous avez un système qui est tout… c’est d’un bloc, en fait. Tout est d’un bloc, et puis il y a une évacuation au milieu. Donc évidemment, en Corée, on peut mettre de l’eau partout, ça ne pose absolument pas problème : Il y a une évacuation au sol, et j’imagine qu’ils vont faire « clic clic clac clac », et puis affaire classée. Quand j’ai compris ça, je suis retournée les voir en leur disant :  « Vous savez qu’il y a des différences entre les salles de bains en France et en Corée, c’est que nous, on n’a pas d’évacuation d’eau au sol, donc il faut que l’eau reste dans la baignoire ou dans l’évier. » Et du coup, ils ont découvert un truc qu’ils n’avaient pas du tout remarqué en prenant leur bain dans la salle de bain. On peut avoir des choses comme ça, et ça fait partie du job en fait. Et ça, c’est important de l’avoir à l’esprit. Ce n’est pas comme investir dans les cryptomonnaies. Il y a quand même de l’humain, avec les points positifs, les points moins positifs.  

Maintenant, si on passe au point qui par ailleurs, pour aujourd’hui, des gens qui voudraient se lancer en location saisonnière ; le point majeur que je vais vous partager aujourd’hui, c’est que si vous hésitez à démarrer en location saisonnière parce que vous vous dites :  « Il y a une pandémie, ce n’est pas très rentable. » Ce qui me fait dire ça, ce point-là m’a été inspiré par le fait que j’ai fait un sondage sur Linkedin. Je faisais un post, et puis j’ai mis un questionnaire (sur Linkedin, on peut mettre des questions). J’ai mis :  « Investir en location saisonnière avec la pandémie, ce n’est plus du tout rentable ou toujours aussi rentable ? » Et j’ai vu un pourcentage de personnes non négligeable — c’est Linkedin, donc ça peut être aussi des personnes qui seront peut-être moins au fait de la location saisonnière, mais quand même — il y avait un pourcentage de personnes non négligeable qui pensaient qu’avec la pandémie, la location saisonnière n’est plus du tout rentable. Donc ça, c’est vraiment quelque chose dont on peut « se nettoyer »… enfin on peut abandonner cette idée-là. C’est un préjugé qui n’est pas correct. Malgré la pandémie — c’est vrai qu’il y a eu des mois qui ont été plus difficiles que d’autres —, la location saisonnière, aujourd’hui, reste très rentable. Ce qu’il faut que vous sachiez, la chance qu’on a en location saisonnière, c’est qu’avec la pandémie, justement, il y a toute une part de la clientèle qui s’est un petit peu détourné de la prestation hôtelière, du fait qu’on est quand même, malgré tout, un peu en groupe dans une structure hôtelière. Les gens n’ont plus trop envie d’être mélangés dans la foule avec d’autres personnes qu’ils ne connaissent pas, pour des raisons d’hygiène évidentes qu’on comprend tous, si bien que la location saisonnière a vraiment tiré son épingle du jeu du fait de tout ça, et a beaucoup mieux résisté, en fait, à la pandémie que l’hôtellerie l’été dernier, et cet été ça a été la même chose. Donc troisième chose à savoir avant de se lancer, c’est que ce n’est pas parce qu’on a une pandémie que c’est vraiment une hérésie de se lancer en location saisonnière aujourd’hui : pas du tout.  

La quatrième chose, c’est que ce n’est pas de tout repos. Quand on hésite à se lancer en location saisonnière, il faut quand même savoir : on retombe un peu sur le fait qu’on gère de l’humain. C’est quand même très rentable, ça, c’est sûr, et ça l’est toujours. Maintenant, c’est un mode d’exploitation qui nécessite quand même beaucoup d’énergie à y investir, ne serait-ce que sur la mise en place. C’est quand même une somme de petites choses : il faut répondre aux voyageurs, il faut s’assurer qu’on a quelqu’un pour accueillir, ou qu’on a mis une boîte à clés, il faut faire le ménage, il faut s’assurer qu’on a envoyé toutes les informations en amont aux voyageurs : toutes ces choses-là. La gestion des annonces en ligne, la gestion de la tarification et du revenue management sont une somme de choses à faire qui font que la location saisonnière, c’est un mode d’exploitation très rentable, mais c’est aussi un mode d’exploitation qui, peut-être, si mal mis en place, extrêmement chronophage. C’est un peu toujours ça dans la vie. Souvent, les choses qui sont les plus rentables, il y a un risque, ou alors, il y a un prix à payer, de temps, etc. C’est un peu ça pour la location saisonnière.  

Ce qui m’amène à — j’espère que je ne vais pas ridiculement ne pas réussir à compter — ce qui m’amène à mon cinquième point, c’est qu’il y a deux éléments qui vont être capitaux pour bien vivre la location saisonnière si vous lancez ou si vous hésitez à vous lancer : le premier, c’est « l’ordinateur est notre ami » ; et le deuxième, c’est « l’équipe est notre ami. » C’est-à-dire qu’en tant que personne qui a un gîte, un appartement, ou même une conciergerie de location saisonnière, la priorité numéro une va être d’essayer d’automatiser tout ce qui peut l’être. Vous avez beaucoup de personnes en ligne qui vous explique comment automatiser, et ce n’est pas du tout négligeable. C’est vraiment important d’automatiser l’ensemble des choses qui peuvent l’être. Si on doit donner des exemples pour clarifier un peu tout ça, le fait de mettre des boîtes à clés, c’est une forme d’automatisation : on automatise les arrivées. Et ne pensez pas que les gens détestent ça. Toute la clientèle affaires, d’ailleurs, adore les boîtes à clés. Une autre chose qu’on peut automatiser : l’envoi des emails, par exemple, pour éviter d’avoir à réécrire constamment les mêmes choses. Il y aura toujours des choses qu’il faudra dire en bonus, mais pour éviter d’avoir à réécrire au moins les mêmes choses, on prend en charge au moins une part de l’information par l’envoi d’emails automatiques. Donc l’automatisation est capitale. Et puis, il y a des choses qui ne peuvent pas être automatisées : on ne peut pas automatiser le ménage, il faut un être humain qui fasse le ménage de façon professionnelle. On ne peut pas automatiser la tarification, il faut un revenu manager ou quelqu’un qui s’est formé à ça, qui sache faire la tarification, et dans ces cas-là, il faut vous constituer, autour de vous, une équipe, ou que vous, vous dégagez du temps pour ça. Parce que c’est ça qui va faire qu’un moment donné, tout ça est très réaliste et ne devient pas un engrenage, une débauche de temps à passer qui fait qu’en fait, vous avez envie d’abandonner. Donc voilà pour ça.  

Un autre point, donc là je pense que je suis au sixième point. Un autre point, c’est le fait d’avoir une démarche professionnelle. On évoquait tout à l’heure le fait qu’avec la pandémie, la location saisonnière a clairement tiré son épingle du jeu. Maintenant, la concurrence reste rude en location saisonnière. Oui, c’est vrai, comme on l’entend parfois, beaucoup d’acteurs ont abandonné la location saisonnière et sont repartis en location longue durée. Mais la réalité, c’est que même ceux qui étaient en colloque ont souffert de la pandémie. Les étudiants, ils étaient tous à la maison chez les parents. Donc au final, il y a quand même toujours une concurrence, et la concurrence est assez féroce. Le domaine de la location saisonnière se professionnalise énormément, année après année, et aujourd’hui, on ne peut plus, ou en tout cas très difficilement aborder le marché sans avoir une démarche professionnelle, c’est à dire sans avoir pris soin de choisir un appartement de qualité, sans avoir pris soin de réaliser une décoration de qualité. D’ailleurs, j’en profite pour vous dire que ce soir, sur Instagram, je serai en Live avec Violaine Rénoveuse Astucieuse. On va parler de ça, justement : comment avoir d’excellents commentaires, avec la décoration et le revenue management ? Donc une décoration de qualité. Il faut avoir une démarche professionnelle, aussi, sur les annonces, faire des photos par un photographe. Tout ça, ce n’est plus du bonus, aujourd’hui, dans notre domaine, dans notre métier. C’est vraiment un incontournable. C’est un incontournable, aussi, pourquoi ? Pour pouvoir vous permettre d’avoir, par la suite, les meilleurs rendements, les meilleures rentabilités sur votre activité, et faire en sorte que ce soit pérenne ; si c’est vous qui exercez l’activité, que vous puissiez vivre dignement de votre travail. C’est important, parce que ça prend du temps, et si c’est une équipe que vous constituez à vos côtés pour qu’en fait, votre structure soit rentable et pérenne sur le sur le long terme, parce qu’on ne fait pas ça pour six mois. On fait ça pour avoir un complément de salaire, on fait ça pour avoir un complément de retraite, on fait ça pour transmettre un patrimoine à ses enfants, ou on fait ça pour changer de vie, parce qu’on veut changer de job. Mais dans tous les cas, ce n’est pas un truc sur une année. C’est vraiment un truc sur le long terme. Et en fait, la pérennité et le succès sur le long terme, ils ne s’obtiennent qu’avec une démarche professionnelle et sérieuse sur tous ces sujets-là.  

Donc voilà, écoutez, au final, j’ai condensé des points. J’ai 6 points, voilà. Sans le vouloir j’ai respecté les six points que je voulais vous partager aujourd’hui. J’espère que ça aura pu vous aider, dites-moi ce que vous en pensez. Est-ce que vous avez des questions à me poser, aujourd’hui, sur tout ça ? Est-ce que vous êtes actuellement en train de vous lancer, et que justement, vous aviez un peu tous ces sujets-là en tête ? N’hésitez pas à me le dire. Avec grand plaisir, moi je vais regarder les messages que j’ai pu rater.

  • Coucou Sandra. Bienvenue Sandra ! Sandra, qui nous regarde depuis Facebook.   
  • Bonjour Audrey, bienvenue à toi.
  • Alors Sandra, tu me dis : « Moi je suis complet depuis mai malgré tout ».  

Oui c’est ça. C’est-à-dire que vraiment, la pandémie, je pense que tu fais référence à ce que je disais sur la pandémie. La pandémie est là, effectivement, elle nous a donné quelques sueurs froides sur les périodes de confinement à proprement parler, déjà. Parce que sur le premier pour finalement il était interdit de recevoir des personnes en location saisonnière et en hôtellerie. Et par la suite, en fait, on a su créer des méthodes pour réussir à remplir malgré tout pendant le confinement. Pas toujours au même prix, il faut admettre que sur certaines villes, les prix moyens ont été un petit peu abaissés. C’est loin d’être la majorité des villes. Il y a beaucoup de villes sur lesquelles on arrive à faire d’excellents prix moyens. Sur les ponts, on a fait des ponts de mai absolument époustouflants cette année, les mois d’été ont été très bons aussi. Enfin voilà, ce n’est pas du tout le tableau gris que certains souhaiteraient laisser entrevoir, je pense, par méconnaissance, en fait, du quotidien des loueurs saisonniers, et par méconnaissance des statistiques. D’ailleurs, si vous avez vraiment un doute et que vous voulez vous assurer que dans votre ville, ça fonctionne bien la location saisonnière malgré la pandémie : AIR DNA. J’ai envie de dire, AIRDNA, c’est le seul outil qui va vous donner in fine des chiffres vendus. C’est le seul outil je veux dire. Les outils de marché, ça peut être AIR DNA, ou un concurrent évidemment, mais ça va vous donner des chiffres clairs et nets sur ce qui se passe dans votre ville depuis qu’on est en pandémie et ça ne pourra que vous rassurer, je pense.

  • Alan me dit que l’automatisation est indispensable, mais il faut le bon partenaire channel manager.

Oui, tout à fait. C’est un très bon point. C’est vrai qu’il faut le bon channel manager pour pouvoir le faire. C’est vrai que l’automatisation repose en grande partie sur le channel manager, qui permet d’automatiser beaucoup de choses s’il est bien fait. Vous pouvez aussi avoir des outils périphériques. Par exemple, des outils pour faire signer les contrats en digital. Ça, ça peut vous aider. Vous pouvez avoir aussi des outils pour prendre la caution. Ça peut aussi vous aider. Et puis si on sort de tout ce qui est digital, les fameuses serrures connectées ou boîtes à clés, quand c’est possible, ça aide aussi à automatiser. Je réfléchis s’il y a d’autres outils d’automatisation qui peuvent aider. Si j’en oublie, n’hésitez pas à me le dire. Après, il y a aussi des outils, si on sort du digital et qu’on parle sur le terrain, il y a des outils pour éviter les problèmes. Est-ce que c’est de l’automatisation ? Disons que oui, ça peut être une forme d’automatisation puisque dans les emails, on va prévenir qu’on a un détecteur de décibels ou une caméra qui filme l’entrée. Ces outils-là vous permettent d’éviter d’avoir des fêtes ou d’éviter d’avoir de la prostitution. Le détecteur de décibels dans l’appartement vous permet d’avoir une alerte sur votre téléphone dès lors que les décibels dépassent un certain seuil, et donc là, vous savez que c’est très probablement une fête, ou voilà, il se passe un truc. Ça vous permet de réagir très vite. Et la caméra va dissuader, en fait, le passage. Donc ça peut être pour les fêtes, mais ça marche aussi très bien en cas de prostitution, parce qu’évidemment, les personnes qui se prostituent n’ont pas envie qu’on filme les arrivées et les départs des clients toute la nuit où toute la journée.

Alan me demande :  « Savez-vous si Beds24 est efficace en termes de messagerie/automatisation des notifications clients ? » 

Oui, Beds24 a un système d’emails automatisé qui est programmable, qui fonctionne très bien à ma connaissance, et qui permet d’envoyer en automatique l’ensemble des emails pour les voyageurs.  

Voilà. Écoutez, je n’ai pas plus de questions. Je vous remercie d’avoir été avec moi. Je vous remercie d’être toujours plus nombreux. Je le dis à chaque fois, mais c’est vrai que les chiffres augmentent à chaque fois, donc je vous remercie pour votre confiance, je vous remercie d’être avec moi en Live. C’est toujours un plaisir de pouvoir discuter ensemble, donc merci à vous pour votre fidélité. 

Alan nous pose une autre question :  « Automatisation : MINUT pour gérer bruit, température, humidité, présence… La caméra, c’est compliqué pour le respect de la vie privée. » 

La caméra, c’est compliqué dans les parties communes. La caméra, on n’a pas le droit de la tourner vers la porte. Donc on a le droit uniquement d’orienter la caméra uniquement sur l’extérieur, et c’est sûr que si c’est une copropriété, c’est compliqué à positionner, parce qu’il faut que ce soit autorisé. C’est plus facile quand c’est une maison individuelle ou quand on a l’immeuble de rapport et qu’on est propriétaire de l’ensemble de l’immeuble. Et en effet, pour le respect de la vie privée, tu as raison, il faut impérativement qu’elle soit — je crois que je ne l’ai pas précisé, c’est un très bon point — il faut qu’elle soit positionnée à l’extérieur de l’appartement est orientée vers l’extérieur de l’appartement pour ne pas filmer l’intérieur de l’appartement, ce qui n’est pas légal, en effet pour le respect de la vie privée.

Voilà, et bien écoutez, je vous remercie beaucoup. Si vous n’êtes pas encore abonné à la chaîne YouTube, n’hésitez pas à le faire. Cliquez sur « s’abonner » avec la cloche, comme ça, ça nous permet de nous retrouver le mardi et le jeudi à midi en Live. Ça permet de répondre à vos questions, et ça permet de discuter de tout ça ensemble, et si vous le souhaitez, vous pouvez télécharger le bonus gratuit dont le lien est juste en commentaire. Je vais publier, comme je fais à chaque fois, dimanche, une interview avec un nouveau partenaire ou un nouveau client, donc rendez-vous dimanche pour une prochaine vidéo et puis moi je vous dis à mardi midi en Live. Je vous souhaite une très bonne fin de semaine.    

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