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Pauline Ancel – Location saisonnière : Comment ne pas faire un appartement leboncoin !

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** Location saisonnière : Comment ne pas faire un appartement leboncoin ! **

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Location saisonnière : Comment ne pas faire un appartement leboncoin !

Elise Ripoche : bonjour et bienvenue sur la chaîne, j’affiche complet. La chaîne qui aide les loueurs saisonniers, les conciergeries de locations saisonnières et les sous-loueurs professionnels à augmenter leur chiffre d’affaires avec les méthodes de revenus management. Aujourd’hui, je suis ravi d’accueillir une invitée vraiment différente de tous les invités que j’ai pu accueillir à mon micro dans le passé. Pauline est depuis le début de sa vie professionnelle, chef d’entreprise en tant qu’architecte et elle a rencontré le chemin de l’immobilier par le biais d’investisseurs intéressants et d’étoffes qui lui ont fait changer sa perspective. Elle est depuis trois ans à la tête d’une société qui s’appelle Good Father, qu’elle a cofondée avec son associé. C’est une société qui en trois ans, tenez-vous bien à aider à lever pour un investissement immobilier près de 15 millions d’euros, 140 biens dans 30 villes différentes donc vous comprenez pourquoi je suis ravie de l’accueillir ce matin.

Bonjour Pauline Ansel.

Pauline Good Father : bonjour Elise.

Elise Ripoche : Ecoute, moi je suis super contente que tu puisses nous parler de ton parcours, de la société et de ce que vous faites.

Peut-être la première question pour ceux qui ne te connaîtraient pas, ce serait : quel est ton parcours ? Qu’est-ce que tu as fait ?

Pauline Good Father : effectivement, tu viens de le préciser un tout petit peu en amont, je suis architecte de formation, c’est de là donc je suis issue, j’étais plutôt parti pour faire une carrière toute tracée dans un cabinet d’architecture, construire des maisons à haute performance énergétique. On appelait ça du BDC. Je ne sais pas si tu avais déjà entendu un peu ça, c’était la grande mode. Aujourd’hui, c’est le standard de construction et j’étais effectivement plutôt de cet horizon-là, dans l’architecture domestique on appelle ça les maisons, les appartements, tout ce qui fait l’habitat des personnes. J’ai été toujours passionné par ça. Et puis les choses ont fait, la vie a fait que je me suis vite retrouvé à être licenciée alors que je veux commencer. Je n’avais pas encore tout à fait fini les études et j’étais déjà embauchée dans un cabinet, mais il y a eu une petite crise, on va dire la crise du BTP et on m’a dit écoute, il y a plus de travail, alors je me sépare de toi. Et ça tombait vraiment très, très bien parce que c’était le moment où moi, j’avais déjà un peu fait le tour de la manière dont on m’avait appris le métier et je sentais que j’avais besoin de beaucoup plus. Et ça a été l’occasion de monter finalement ma première entreprise, qui est un cabinet d’architecture intérieure. Et puis les choses ont grandi, grandit jusqu’à finalement former une autre qui s’appelle effectivement Good Father avec mon associé (mr du creuse). À peu près le parcours très rapide, avec une grosse spécialisation pour les investisseurs immobiliers parce que j’étais amené à le rencontrer au tout début de ma première entreprise et il m’a dit, c’est cool, en fait tes compétences peuvent servir vraiment à nous qui investissons. On est toujours en train de se demander comment on va mettre une nouvelle salle de bain quelque part, comme on peut retravailler les agencements pour faire une sorte d’arrangement de plus, etc. Et je ne sais pas oui en fait là, je peux avoir une vraie utilité, un vrai sens de la contribution donc allons-y quoi et ça donne ça aujourd’hui.   

Elise Ripoche : et tu as toi-même de l’immobilier aussi il me semble ?

Pauline Good Father : oui, oui, oui. Alors beaucoup moins que certains. Je me plais toujours à le dire parce qu’on croise beaucoup, beaucoup d’investisseurs. On travaille avec beaucoup d’investisseurs. On a l’habitude de se donner des nouvelles au fur et à mesure et on a toujours aussi beaucoup de personnes qui cherchent à en avoir beaucoup, à avoir beaucoup de biens ou alors à avoir beaucoup d’encours, etc. Moi, je n’ai pas forcément cette envie-là. Je suis plutôt très lente. Je suis en mode tortue, mais en fait chaque chose, je l’ai fait aux petits oignons jusqu’à la déco, jusqu’aux finitions et donc oui, j’ai quelques biens mais sans plus par rapport à certains.

Elise Ripoche : d’accord ce qui est déjà très bien. Il y a beaucoup de personnes qui n’y ont pas bien du tout, tu vois.

Pauline Good Father : oui, après, c’est toujours mieux. Et puis ça permet de se rendre compte de l’exploitation, la mise en place, des difficultés que les investisseurs traversent, on les traverse nous aussi et le conseil qu’on donne est beaucoup plus facile aussi parce qu’on a vécu les choses.

Elise Ripoche : oui complètement. Et ce qui est intéressant dans ton parcours architecte d’intérieur, c’est que, comme tu le dis, tu as aidé beaucoup de personnes qui se lancent en immobilier. Je sais que vous aidez pour différents modes d’exploitation longue durée, courte durée, mais aussi colocation, etc. Est-ce que tu as des conseils à partager sur ce que tu recommandes justement sur ce volet architecture d’intérieur quand on veut faire de la courte durée ?

Pauline Good Father : oui, ça va peut-être surprendre, je ne vais pas te parler de couleur. Je ne vais pas te parler de motifs et de tendances déco de chaque approche parce que franchement, surtout, dans l’investissement, vous ne devez pas vous coller à une mode en particulier vu qu’on est censé mettre de l’argent pour que ça dure. Non je vais plutôt te parler généralement de ce que fait principalement, on va dire notre accompagnement, c’est la réflexion en amont du projet et c’est des premières questions que je pose moi quand j’interviens en tant qu’achit d’intérieur auprès d’investisseur C’est ce qui la cible ? C’est qu’est-ce que vous voulez faire du bien ?

C’est quoi son ou ses objectifs ? Comment ça va être exploité ? Dans quelle ville on se trouve ? Dans quel quartier on se trouve ? Qui est ce que vous allez chercher et accepter en tant que candidat à la location et comment on exploite ça ? En fait, c’est ça qui va donner tout le corps au projet d’architecture. C’est toutes des questions qui vont finalement aller très, très vite dans le détail. Typiquement, c’est ce qu’on est, je ne sais pas, j’ai une double veste qui me vient, je repense à Stéphane cladier, c’est en fait, c’est ça, c’est comment on imagine le parcours des gens. Le matin en se levant, par exemple, on fait en sorte de trouver plusieurs cabinets de toilette ? est ce qu’on fait plusieurs salles de bain et si on le fait. Est-ce qu’on met des douches, des baignoires etc.  En fait, c’est vraiment ce lien entre la cible, les besoins de la cible, celle qui va habiter dedans et le projet ce qui va en ressortir, qui fera que ça va être en plus de la déco bien faite. Bien sûr, qui va être un super projet parce que ça remplira complètement le besoin ça sera fonctionnel en fait voilà c’est ça.

Elise Ripoche : du coup est-ce que tu fais une différence une clientèle affaires et une clientèle loisirs ? Tu vois un appartement qu’on destine plus a du familial, même si en courte durée et un appartement qu’on destine plus à une clientèle affaires.

Pauline Good Father : alors, c’est tout ce qui fait l’intérêt, c’est qu’on ne se ferme aucune porte. Je voudrais dire que… Et typiquement à LCD quand je vois moi par exemple, à Nancy on a forcément, de manière très mélangée des gens qui viennent pour les Week-ends, des touristes, mais on a aussi des gens qui viennent pour travailler et dont je ne peux pas trop morceler en disant ce bien-là, je le fais pour le pro et puis le bien d’à côté je le fais pour les touristes, ça se passe rarement comme ça donc c’est bien de ne pas se fermer, d’avoir en conscience ces deux cibles là et effectivement après, à l’intérieur du bien tu vas trouver des petites choses particulières qui vont répondre à la clientèle finalement la plus exigeante qui est celle du tourisme, je dis exactement l’inverse de ce que je voulais dire, de la clientèle pro, pro affaire qui va avoir des besoins qui sont on va dire presque urgent typiquement pouvoir repasser ses chemises, Pouvoir les sécher convenablement pour être propre sur soi le matin, c’est des choses que les touristes n’ont absolument pas besoin, eux ils mettent le T-shirt et puis terminé. On sort en sandales se balader dans la rue quoi. Et donc, ça joue vraiment dans les tout petits détails jusqu’à la liste de meubles, jusqu’à la liste de références pour que ces deux cibles-là puissent y trouver leur compte sans être forcément priorisée l’une sur l’autre. On pense vraiment dans le détail, à chacune des cibles, pour trouver les bons besoins. Voilà

Elise Ripoche : c’est la question à chaque fois du bureau. Faut-il mettre un bureau pour que la clientèle affaire puisse travailler ou pas quoi ?

Pauline Good Father : je vais jusqu’aux prises moi. C’est-à-dire qu’à un moment donné, tu as le bureau, c’est sûr. La clientèle affaires s’assoit avec son ordi, son Mac, ou je ne sais pas, son téléphone à côté, comme souvent. Et puis bien OK, là, il faudrait que je charge le téléphone. Qu’est-ce que je fais là ? Je vais peut-être aussi aller penser (inaudible) faire l’électricité à une prise avec le port USB, par exemple juste devant le bureau, à hauteur de hauteur de table, tu vois, c’est dans ces petits détails-là qu’il faut penser. Ça a l’air de rien et pourtant c’est juste une pensée à un moment donné de la conception qui fait dire que oui, ok, il a trouvé sa petite prise pour son petit téléphone bien ça va lui procurer de la joie et il sera content. Voilà et c’est vraiment c’est-à-dire tu entres les besoins et ce que tu donnes à faire ton projet en réalisation qui moi me plait beaucoup.

Elise Ripoche : c’est intéressant. Alors est ce qu’à l’inverse, tu as vu des erreurs ou des choses ou tu te dis ça vraiment, c’est des choses qu’il ne faut pas le faire ? Comme… oui.  

Pauline Good Father :  oui, oui, alors là, pour le coup, on bascule dans la déco. Il y a deux choses. Soit les personnes vraiment pour la LCD qui forcent beaucoup trop le trait sur la décoration et qui, du coup, se ferment toute une partie de la cible qui n’a pas ces attentes-là, qui veut plutôt quelque chose de neutre et de reposant, soit ceux qui, au contraire, à l’inverse complet, vont acheter  ou se satisfont de ce qu’ils peuvent trouver dans leur garage ou dans le garage de mamie pour meubler tu vois, et tu te retrouves avec un appartement que j’appelle l’appartement le bon coin ou tu dis que tout est vieillot par ce que ils n’ont pas voulu mettre de l’argent sur finalement l’ambiance là. Les besoins, tu te retrouves avec… voilà il n’y a rien qui correspond, les couleur sont des années je ne sais quoi 80 mais bon ce n’est pas grave ils l’ont meuble quoi et on en trouve encore des personnes comme ça qui n’ont pas notre âge qui sont un peu avancés en âge on va dire qui du coup n’ont plus cette vison entrepreneuriale de la courte durée et de la moyenne durée et qui se satisfont d’un ameublement plus que quelconque voir de mauvais gout et en fait l’erreur elle est là c’est que les gens veulent vivre une expérience ni trop, ni trop peu c’est toujours pareil il faut s’ouvrir à toutes les cibles potentielles mais faut pas forcer trop de trait sur la déco ou des thématiques tu sais, une thématique très précise et puis en fait que tu la dispense partout dans l’appartement ça parle de la même chose dans toutes les pièces, tu sais je ne sais pas une thématique sur des voiture par exemple tu te dis t’es a cote du circuit de je ne sais pas quoi donc tu vas te faire une thématique de voiture et en fait tu vas mettre partout d’ailleurs sur les coussins, sur les cadres, sur les tasses tu vois beaucoup trop tu vois too much et a l’inverse bien rien du tout voir J’ai pris tous les meubles sur Lebon coin à 20 euros  chaque et j’ai mis ça comme ça on verra bien quoi. Et voilà… C’est dans le juste le milieu toujours.

Elise Ripoche : C’est assez difficile tu vois moi je me dis parce que pour moi c’est tu vois la décoration je l’apprends de plus en plus notamment grâce a des gens comme toi qui m’apprenne beaucoup de choses, mais je reste 1800 fois moins expertes que toi et je me mets à la place des gens et je me dis c’est dur de trouver ce moment tu vois est ce que tu as un indice ou une idée, un point à dire aux gens bien voilà, par exemple. Alors c’est sûr que quand on dit qu’on met des voitures partout dans la partie. Voilà, je me rends bien compte que ce n’est pas bon, tu vois mais au-delà de ça, au-delà de cet exemple, qu’est que tu as intentionnellement donné un peu extrême tu vois quand est-ce qu’on sait qu’on a mis trop de couleurs ? Moi, je vois. Par exemple, dans l’exercice de mes fonctions, je vois qu’on a des appartements parfois dont les ventes décroissent parce qu’il y a trop de couleurs. J’ai un appartement en tête ou je sais qu’on en a parlé avec le propriétaire. C’est un excès de couleurs, donc on a du mal à le vendre. C’est plus difficile. Mais tu vois est ce qu’il y a des indices pour trouver cette jauge ou peut-être se remettre en question sur son appart. 

Pauline Good Father : oui, Il y a un indice alors par rapport au nombre de couleurs ou à l’excès de couleurs, ce que je leur donne souvent, c’est toujours un maximum de 4 max. C’est-à-dire que dans chaque pièce, un œil qui balaye à 360° la pièce doit pouvoir identifier au maximum 04 couleurs. Dans les couleurs j’ai déjà les couleurs des murs, donc le blanc en fait partie. Les couleurs du sol. Si tu as un parquet en stratifié, donc un aspect bois, ça fait déjà une couleur pour moi l’œil perçoit un marron ou tu vois un chêne clair, c’est déjà une teinte alors je ne compte pas la couleur des plantes, on me le demande : et si j’ai une plante, ça fait du vert, ça compte pour… Non ça, les plantes, si tu ne fais pas une jungle autour de toi ça ne compte pas comme une couleur, mais sinon, du coup, c’est à dire qu’il en reste finalement plus que deux et voila. Et après tu as la priorisation des couleurs c’est que, là où tu vas, l’étaler le plus. Il va falloir plutôt une couleur assez neutre, peu réactive à ton œil. Et la dernière, la quatrième, tu vas peut-être l’utilisée, comme ce qu’on appelle la couleur accent si c’est un jaune, par exemple tu sais que le jaune, ça va tout de suite attirer ton œil tu vas plutôt prévoir on va dire le jaune sur des tout petits accessoires, je ne sais pas, sur un vase, dans un cadre, il va y avoir un rappel du même jaune. C’est aussi plein, plein de jaune. Je sais qu’il y a plein de gens qui ne sont pas capables de le varier. Les variations de couleurs parce que voilà ça ne fait pas partie de leurs aptitudes premières mais ça se développe et c’est vrai que pour nous, un vert fougère, ce n’est pas comme un vert jungle ou un vert sapin ou un vert, mais idéalement, ce serait 3 à 4 teintes max dans une pièce ou dans un ensemble de pièces. Si tu veux faire une suite en prenant bien en compte la couleur de tes matériaux en premier, en regardant ce qui te reste quoi, là tu clarifies tout, tu rends homogène l’espace, tu permets à l’œil de dire beaucoup mieux que s’il y en avait partout et des perdus. Il y a trop de détails. Il y a trop de choses différentes voilà. 

Elise Ripoche : Intéressant, je pense a un autre point aussi. Je ne sais pas si tu as une conviction sur ça, mais on voit beaucoup de décoration dans le mode esprit scandinave que moi, personnellement, j’apprécie beaucoup peut-être parce que c’est un truc un peu générationnel aussi, je ne sais pas. Est-ce que tu recommandes de se dire il faut arrêter maintenant l’esprit scandinave, on a trouvé, on en a ras le bol ou tu n’as pas d’éléments défavorables par rapport à ça. 

Pauline Good Father : Là encore, je vais te faire la réponse du milieu, mais je pense que je suis une fille qui a des réponses bylines, même un boiter hybride. Bref, nous on met du scandinave pour toute la partie meuble. C’est ce qu’on lui trouve de très, très bien, c’est que c’est extrêmement neutre. Tu regardes les tables des chaises ou même encore les canapés, des fauteuils, etc. C’est extrêmement neutre, donc c’est finalement une super base, très intemporelle, très douce aussi, puisque les bois ne sont pas fort tu vois c’est du bois très clair, très bon, double blanc. Donc je dirais ça. On peut s’en servir comme une très bonne base de décoration pour meubler et c’est là où tu tires son épingle du jeu. C’est quand tu sors ensuite de l’aspect scandinave, telle qu’on le connaît connait tout le reste, c’est à dire les coussins, les papiers peints, les rideaux, les textiles, etc. Tu vas plus du tout chercher dans cette (inaudible), tu vas te faire un peu plaisir, tu vas mettre un papier peint qui n’a rien à voir avec le Scandinave. Tu vois qui est complètement à l’opposé. Et c’est les mariages en fait de ces deux aspects là.

Que tu fais quelque chose de tout à fait unique et d’agréable, tu peux aller chercher des roses et chercher des bleus très, très intenses par moments. Et tu vois, c’est une espèce de mix, un hybride encore une fois, mais qui fait que tu crées l’ambiance qui va bien. C’est moins dur parce que la base est là. La base est scandinave, c’est simple, c’est simple et se trouve partout. En plus de ça, 

Elise Ripoche : C’est vrai, c’est intéressant. Ça nous lie ce sujet-là de la décoration, ça nous lie au sujet qui est souvent une grosse épine dans le pied. Quand on veut investir en location saisonnière, c’est les travaux. Je sais que sur ça, vous faites quelque chose que j’ai adoré. C’est une calculatrice. Est-ce que tu veux nous en parler ? moi j’ai trouvé que c’était quoi ? pour moi C’était une révélation. J’ai adoré ce que vous avez fait.

Pauline Good Father : Eh bien avec plaisir. Effectivement, c’est né d’un certains nombres d’années de retour, de discussions avec les investisseurs. Ce n’est pas quelque chose qui me fait peur, particulièrement parce que je suis du métier. Par contre, on s’est aperçu que ce n’était vraiment pas le cas de tout le monde, loin de là, et qu’il y avait une vraie envie d’investir, sauf la partie travaux ou on se dit oula, je ne sais pas qui appeler, je ne sais pas combien ça coûte, je ne suis même pas sûr que je peux faire une offre parce que le temps que mon maçon plaquiste, il arrive et qu’il me fasse un devis, je vais perdre, je vais perdre le bien en fait la petite pépite que je viens de trouver sur Lebon coin. Faudrait que je dise oui tout de suite, alors que derrière, je ne sais pas combien je vais m’en sortir et combien va être même rentable et en fait cette partie-là on s’est  dit là OK, on va faire un outil qui sera facilement accessible avec son téléphone, ou son ordi le soir en cherchant les bonnes affaires et on sait que quand on commence par voir un petit peu l’outil en main en 5 à 15 minutes tu es capable d’estimer le montant de ces travaux en sachant que tu n’as aucune compétence en bâtiment et puis tu sais que voilà il va falloir peindre, Il va falloir changer un sol, etc. Si t’as un minimum d’informations que sont grandes ou bien les grandes largeurs grandes longueurs que tu peux deviner sur des photos notamment et bien tu en as assez. Et tu peux transmettre ça et après ça te sert d’un document sur tous les lots, toutes les pièces. Et puis tu peux transmettre ça à ton courtier, par exemple ou à ton banquier pour dire est ce que je peux avoir un accord de principe sur cette base-là. Est-ce que vous prêtez oui ou non ? Tu avances, t’as pas besoin d’attendre je ne sais pas 3 semaines que ton artisan fétiche se déplace, parce qu’entre-temps, il n’a pas le temps et voilà. C’est vraiment uniquement ça, c’est cette visé-là. Ça ne remplacera jamais le devis final de l’artisan qui viendra, qui regardera tout et qui aura cet avis technique. Mais ça permet de globaliser vraiment une enveloppe, c’est dire go no go en fait !

Elise Ripoche : C’est ça, c’est exactement ça que j’ai trouvé bien, c’est que ça permet d’avoir une autonomie, quand on a du mal à avoir, sinon parce que quand on n’a pas l’expertise, c’est quand même assez nébuleux. On peut avoir peur d’oublier des choses, et la une calculette qui a été aussi pensée par une architecte, architecte d’intérieur. Moi, ça me rassure carrément. Je me dis bon, non c’est vrai.

Pauline Good Father : Et ce qu’il y a de bien c’est qu’elle n’a pas été pensée que par une architecte d’intérieur. Parce que là, pour le coup, mon gros défaut, ça aurait été et ça l’a été. On a retravaillé ça, c’était d’éliminer trop de détails, trop de jargons techniques, trop… Tu vois j’étais tout de suite dans le métier, mais c’est simple, non ? Et c’est là où, effectivement, Mathieu avait son intérêt en tant qu’investisseur pur et dur, c’était de dire, écoute-moi, franchement, je préfère qu’on me parle de mur plutôt que tu me parles de doublage de je ne sais pas quoi, de… Moi si c’est sur les murs que je dois peindre un truc, je veux sélectionner les murs, sélectionner ce que je fais, si c’est de la toile de verre, du papier, un, et puis ça me sort le prix en fonction de la surface. OK, on va rester à ce niveau de détail parce qu’en fait, il y en a largement assez pour une estimation. Même s’il y a certains, certains autres paramètres, on peut aller de manière assez précise. Tu peux changer, tout, tu peux changer ta salle de bain à la pièce ou au forfait, tu peux meubler la cuisine. Pareil à la pièce ou forfait en sorte que tout le monde puisse s’y retrouver et surtout ceux qui n’y connaissent en rien.

Elise Ripoche : C’est ça, c’est l’intérêt de la calculatrice. Oui, c’est top. Si vous voulez retrouver cette calculatrice, je mets le lien juste dans la barre d’info. Vous allez pouvoir retrouver la calculatrice de Good Father. Franchement, allez faire un tour, elle est vraiment, vraiment bien faite. C’est une petite révolution. Je pense que ça devrait être dans le kit de démarrage de tout investisseur immo. Voilà, on devrait avoir un kit avec la calculatrice à l’intérieur.

Pauline Good Father : C’est ça, si seulement, il y a déjà des idées qui passent un petit peu dans cet ordre-là. Et on est beaucoup à l’écoute des suggestions des gens parce que c’est un outil collaboratif qui se base sur l’analyse des devis qu’on a partout en France. Et en fait, à chaque fois que les utilisateurs l’utilisent, font leurs projets, on leur demande s’ils sont OK de nous renvoyer les devis qu’ils ont ensuite fait faire et qu’ils ont signé. Nous, On les filtre, on en récupère peut-être je ne sais pas 5% dans tout ce qui est envoyé, mais on agrémente la calculette en donnée en fait. Et c’est finalement parce qu’il y a un échange que l’outil est de plus en plus performant. Donc il y a des tutos sur la chaîne YouTube aussi, si vous voulez voir un peu avant de, avant d’entrer dans le monstre, on a fait quelques petits tutos vidéo pour montrer à quel point c’est super simple en fait ; on a tous les agents immobiliers, aussi pas mal d’agents qui s’en servent. Ça peut aider plein de gens, même des gens, qui achètent leur résidence principale. C’est la même chose.

Elise Ripoche : top ! ce que j’ai bien aimé aussi dans l’activité de Good Father, c’est que vous êtes aussi en contact avec les pros. Vous avez un réseau de partenaires qui est vraiment étoffé et c’est vrai que dans la communauté, nous, on a aussi tout un groupe de personnes qui sont des pros de la location saisonnière. Et du coup, il y avait une question je voulais te poser. Quels sont pour toi parce que je sais que vous êtes aussi partenaire avec certaines conciergeries de locations saisonnières quels sont pour toi les éléments de qualité d’une bonne conciergerie ? Je prends par exemple pour une conciergerie qui se lancerait, est ce que t’as comme ça des éléments de qualité d’une conciergerie de location saisonnière ?

Pauline Good Father : Pour moi, la principale qualité ça tient en deux mots All inclusive. En tout cas, là, je me place en tant qu’investisseur, investisseuse. C’est cette notion de savoir-faire. Mon savoir-faire, c’est de savoir chercher la bonne affaire. C’est de me rapprocher des vendeurs, c’est bien de négocier c’est bien acheter en allant chercher les bonnes conditions de financement. Donc après, j’ai une attente de rentabilité vis-à-vis du bien que j’ai trouvé. Charge à moi de faire de bons travaux qui ne coûtent finalement pas trop cher et qui soit bien optimisés. Une bonne déco, mais après, et une fois l’exploitation, la gestion, ce que j’attends, c’est bien si je paye un prestataire, c’est finalement qu’il s’occupe de tout et il s’occupe de tout, très bien dans les moindres détails, ça va forcément jusqu’à la réponse, l’accueil des voyageurs sur WhatsApp ou autre quand il faut leur parler etc, résoudre les soucis. Mais ça va aussi jusque, on est en période de COVID, la gestion du linge, la propreté dans les sanitaires, etc. Et cette notion de sécurité qui vont finalement offrir aux voyageurs dans mon bien, ça, c’est une vraie importance pour moi et ça ressort après de toute façon dans les commentaires juste comme ça ; quand les gens ont passer des séjours, oui c’est vraiment ça, je pense all inclusive, c’est bien l’espèce de gestion globale et puis de la réactivité quand il y a des soucis. À mon avis, c’est ça la clé, c’est la plus dure parce qu’il faut tout gérer mais ça existe puisqu’effectivement les partenaires que j’ai aujourd’hui en tant que conciergeries le font aisément et sur les dizaines de biens, ça fonctionne.

Elise Ripoche : Oui. L’idée, c’est vraiment de se dire je n’ai plus à entendre parler de mon bien à part quand je reçois les paiements,

Pauline Good Father : La facture du mois. Tu vois c’est ça aussi, parce que ma renta, elle est faite parce que j’en attends effectivement une certaine gestion du calendrier, une gestion des nuits, une gestion du voyageur qui va se trouver bien dedans. Et moi, ce que je veux, c’est finalement ne pas y penser du tout et avoir le plaisir, la joie de payer tous les mois la conciergerie quand elle va m’envoyer sa facture et je t’assure, j’ai une vraie joie tous les mois quand je leur envoie un merci, tu sais, avec le virement, parce que merci pour votre travail parce que finalement sans eux, je n’aurais rien. Difficilement, je ne suis même pas sur place en plus pour gérer mon bien, donc j’ai vraiment cette satisfaction en fait de savoir que je peux compter sur quelqu’un qui est hyper fiable, toute une équipe que ce sera toujours propre que les gens seront toujours bien accueillis et que j’ai juste à payer à la fin.

Elise Ripoche : Tout va bien quoi.

Pauline Good Father : Et quand ça ne va pas, on sait gérer aussi, tu vois, parce qu’il y a des petites choses des fois je le raconte souvent, j’en rigole maintenant. Un voyageur qui m’a volé le flexible de douche. Je n’ai pas compris. Je cherche encore pourquoi. Peut-être qu’il lui en manquait un chez lui, du coup, il se dit tient, celui-là n’est pas mal, je vais le prendre, mais…

Elise Ripoche : Oui, c’est quand même incroyable.

Pauline Good Father : Voilà.

Elise Ripoche : Je crois que c’est la première fois que j’entends parler d’un vol de flexible de douche.

Pauline Good Father : C’est terrible. Voilà mais, et ça arrive et ça fait partie du truc. Et c’est tout. Tu prends, tu prends comme ça vient. Ça fait partie du voyage en fait hein.

Elise Ripoche : Oui.

Pauline Good Father : mais de savoir que c’est bien géré, que tout va se remettre en ordre facilement. Voilà, c’est tout. All inclusive.

Elise Ripoche : Top, top, c’est bien compris. Super, alors est ce que tu peux nous parler de ce que vous faites pour Good father ? J’allais te poser une question peut être qui serait une transition aussi, pour que tu nous parles un peu de ce que vous faites et aussi de, où est ce qu’on peut vous retrouver si on veut te contacter, etc. Mais peut-être une question de transition auquel j’ai pensé quand tu parlais, c’est que quand vous accompagnez du coup, quelqu’un qui va avec, tu nous en parleras bien mieux que moi mais quelqu’un qui veut investir, est ce que vous anticipez aussi le mois d’exploitation par la suite ? Est-ce que dans les calculs, vous anticipez le fait que pour que ce soit rentable en considérant les charges d’une conciergerie, eh bien.

Pauline Good Father : Oui, c’est presque même la finalité. Avant, il y a plein d’étapes. Et la première, c’est de savoir qui est la personne parce que ce n’est pas rare, que ce n’est vraiment pas rare, que les gens nous contactent pour démarrer ses projets d’accompagnement, des gens qui ont des biens qui n’ont pas encore, qui sont vraiment à dire débutants, primo investisseurs et qui ont beaucoup, beaucoup regardé YouTube, entre autres, qui sont beaucoup documentés sur plein de choses et qui en sont finalement à une sorte de paralysie ambiante. Ben, OK, ben ? J’ai tellement, je me suis tellement gavé d’informations de partout, sur plein de stratégies différentes, que je ne sais pas sur quoi partir. Ou alors, qui ont pris telle ou telle formation, qui partent bien en tête sur une base, qu’ils vont exploiter typiquement en LCD et en fait, quand on reprend les choses, quand on apprend à se connaitre, quand on pose les bonnes questions, t’es quoi ? T’es qui ? Tu vas où avec ça ? Et pourquoi tu fais de l’immobilier ? T’habite où par rapport à la zone où tu veux investir ? On s’aperçoit que des fois, il y a des, tu sais, il y a des problématiques d’alignement.

Elise Ripoche : Oui.

Pauline Good Father : Ce n’est pas net. Il y a, tu vois la rentabilité à la fin, mais derrière, t’as pas vu ni le temps que t’avais à passer à ça.

Elise Ripoche : Oui

Pauline Good Father : Ta capacité à te déplacer quand il y a un problème. Et même parfois, le financement qui est complètement délirant. Les capacités de financement qui sont surévaluées ou sous évaluées aussi des fois. Et donc on reprend tout ça, on réaligne un peu les planètes. Et enfin, là, on se dit OK ben voilà, on va définir ensemble la zone de sourcing des biens, le niveau de renta qu’on peut en attendre. C’est essentiellement Mathieu qui s’en occupe. Quelle est ta roadmap en fait d’investisseur. Quel est ton… Par quoi tu dois passer ? Et quel est l’enchaînement des biens que tu dois acheter ? Quelle surface ? Quelle rentabilité ? Quel montant ? Pour que, mis bout à bout, tu atterrisses à ton objectif final qui est par exemple, de quitter ton travail dans 3 ou 4 ans et d’avoir cet équilibre de salaire qui se rebascule sur l’investissement ? C’est vraiment typiquement le genre de questions qu’on nous pose, ce par quoi on démarre les accompagnements. Et ça aboutit à oui, à cette construction d’une Roadmap où des gens savent exactement ce qu’ils doivent chercher ou à combien ? Qu’elle est renta. Et si non il n’achète pas. Gagner en temps, fou en fait, en t’éparpillant pas sur plein, oui plein de recherche de partout et de donner envie toutes les semaines parce que tu trouves plein de choses intéressantes au final, t’as pas de ligne directe, donc pas de fil rouge. Donc oui, on fait ça. Et ensuite, la stratégie elle vient avec, le choix de la stratégie en fonction des capacités de la personne, de la renta aussi, qui peut être offerte par le lieu, quartier, des fois c’est par la colocation, par exemple à certains endroits, tu ne peux pas te faire de colocation, ce n’est pas assez rentable. T’es tout de suite, en dehors de l’autofinancement. C’est quand même le minimum. Tu ne peux pas acheter en dessous de l’autofinancement selon moi. Donc c’est ça, on fait matcher tout ça, on croise tout ça et puis ça donne un projet qui est sur mesure en fait. Et personne n’est pareil, il n’y a pas un qui ressemble à celui d’à côté. Tout le monde est différent.

Elise Ripoche : Et du coup, pour que les gens comprennent bien concrètement, quelqu’un va venir, et il s’inscrit sur le site Good Father. Voilà je voudrais être accompagné, ou qu’est ce qui est attendu de la personne qui va se faire accompagner par Good Father ?

Pauline Good Father : Qu’est-ce qu’il attend ? Ben c’est de la collaboration, c’est-à-dire ne pas cacher les choses. Des fois, on est toujours un petit peu réticent à se livrer. Sauf que là, ce qu’il y a de bien, c’est qu’on est entre nous, essentiellement entre lui et Mathieu, c’est plutôt avec lui que ça commence. Moi ensuite, je prends en charge la suite quand il s’agit d’aller estimer les travaux dans un immeuble, etc. C’est plutôt après. C’est ma partie, mais au moins, le départ, il est fait entre deux personnes, via des sessions le soir ou la journée, en fonction des disponibilités. Et c’est comme une sorte d’amitié qui se crée. Donc, l’idée, c’est effectivement de collaborer oui en se livrant d’une certaine manière puis qu’on va chercher assez, assez loin quand même pour construire quelque chose de personnalisé. Il faut que ça colle à la personne, par définition. Et puis ça, c’est la principale collaboration. Ensuite, après, c’est plutôt un investissement ou une motivation, c’est à dire qu’après nous on ne cherche pas les biens nous-mêmes, on l’apprend à la personne à chercher. Et si après, elle ne met pas en place une sorte de petite routine je ne sais pas 5 minutes par jour où elle fait des annonces, elle fait ses alertes, etc. On ne peut plus l’aider parce que la source ne vient pas. Mais on réagit, on est tout de suite présent dès qu’il y a quelque chose, une bonne, une bonne opportunité qui sort. On est là pour donner notre avis et éventuellement se déplacer sur site pour vérifier quelque chose en adéquation avec son profil et puis lui dire OK. Là, franchement, tu allais se passer. Vas-y, on y va. Et puis, on a ensuite tous les partenaires pour fluidifier tout ça jusque, jusqu’à la vidéo 360 à la fin ou la gestion locative, c’est, c’est ça en fait. Si tu étais comme dans une bulle, je rentre dedans et puis on t’accompagne jusqu’à la fin, sachant que c’est plutôt toi qui apprends, qui fait des choses, parce que l’idée, ce n’est pas forcément besoin de nous rappeler pour le prochain que tu saches que tu peux le faire, que tu as acquis de l’expérience. Plus de formateur que des prestataires, en fait, en réalité.

Elise Ripoche : Oui, c’est un coaching individuel de haut niveau quoi.

Pauline Good Father : Oui, on a, on a des coachings collectifs qui sont du temps du COVID, un peu suspendu, malheureusement, mais on a eu, on a déjà fait pas mal de sessions de, typiquement immo Inside, qui sont finalement un immeuble, une journée, une visite de fond en comble jusqu’à la cave, avec en toile d’araignée jusque dans le grenier, avec plein de petites bêtes dans le bois. On va tout regarder en regardant le détail des choses pour leur apprendre à regarder du mobilier, pour savoir sur quoi on porte notre attention. Quelles sont les choses qu’on doit repérer très fort jusqu’à la fin de la journée, on a des petits ateliers théoriques sur la rentabilité, le calcul, la gestion, les travaux, l’urbanisme. Et ça, c’est plutôt en groupe que ça se fait. On a hâte de reprendre tout ça, voilà, parce que, oui, ça nous manque vraiment c’est ça, c’est individuel et collectif, et des événements aussi. Pareil, qu’on attend de pouvoir refaire des apéros dans les bars, ce genre de choses, des séminaires, des masterminds tu vois, on faisait beaucoup ça, ça nous a un peu freiné toute cette, toute cette période-là, un petit peu spécial.

Elise Ripoche : oui.

Pauline Good Father : on va reprendre.

Elise Ripoche : c’est ça, bientôt. Alors, si on veut vous retrouver, où est ce qu’on va ? Qu’est-ce qu’on fait ?

Pauline Good Father : alors si on veut nous regarder, c’est plutôt sur YouTube. Alors, Il faut pour nous trouver parce que comme je te disais la toute dernière fois, on s’est fait piéger par la gestion de mots-clés de Google. Si vous voulez nous retrouver sur YouTube, il faut que vous tapiez Good Father S.A.S. Sinon vous allez difficilement nous trouver, vous allez tomber sur le parrain, le film, donc ça va être un petit peu compliqué, mais sinon, il y a le site goodfather.fr. Et puis ensuite de là où vous rayonnez sur à peu près tout, il y a aussi une page Facebook. Dans tous les cas, tout, tout est plus ou moins relié, donc on trouverait facilement ; et la calculette, on peut aussi y accéder via, via Good Father, sinon, c’est jestimemestravaux.fr.

Elise Ripoche : je mettrai tous ces liens-là en bas pour que toutes les personnes n’aient qu’à cliquer pour pouvoir te retrouver.

Pauline Good Father : merci.

Elise Ripoche : Eh bien écoute. Merci beaucoup Pauline pour tout ce que tu nous as partagée et appris. C’était vraiment super intéressant.

Pauline Good Father : avec grand, grand plaisir. J’aime beaucoup ce petit échange passionné par ça, je peux en parler des heures et des heures. Là encore, c’est tellement intéressant de voir les dynamiques qu’il y a à faire avec tout ça. En tout cas, merci pour ton accueil. Au plaisir, du coup, de renseigner tous ceux qui te suivent.

Elise Ripoche : super, au plaisir. Merci.

Pauline Good Father : merci.

Elise Ripoche : si vous n’êtes toujours pas abonné à notre groupe Facebook sur : j’affiche Complet et bien écouté, n’hésitez pas à le rejoindre. C’est comme mon rituel habituel de fin de vidéo. Je vous rappelle notre groupe Facebook, c’est : locations saisonnières prix et maximisation du chiffre d’affaires, n’hésitez pas à nous rejoindre. Et puis quoi qu’il en soit, vous trouverez tous les liens dont on a parlé pendant cette vidéo juste en dessous. Pour pouvoir aussi aller voir ce que fait Pauline. Moi, je vous souhaite une très bonne journée. Prenez soin de vous et la prochaine vidéo.

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