Nicolas Fatou : étoffer son patrimoine avec la sous-location de façon automatisée
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Bonjour et bienvenue sur la chaîne J’affiche Complet, la chaîne qui aide les loueurs saisonniers, les conciergeries de location saisonnière, et les sous-loueurs professionnels à augmenter leur chiffre d’affaires.
Aujourd’hui, je suis ravie de vous présenter un invité qui est parti de zéro. Donc, son parcours va pouvoir vous parler. Il a eu la rigueur et le soin d’appliquer l’ensemble des formations qu’il a faites. Pas à pas, il a eu le courage de passer à l’action. Il est passé d’un patrimoine de 0 à 8 appartements avec sa Rp, mais il ne s’est pas arrêté là, c’est un hyperactif. Il est en CDI, il est aussi chef d’entreprise. Il a maintenant sa société de 35 appartements en sous-location, et vous allez voir, on va en parler, c’est très intéressant si vous voulez faire de la sous-location. Mais comme ça ne suffisait pas, il a aussi une chaîne YouTube : une chaîne YouTube dans laquelle et pour laquelle il aide les loueurs saisonniers qui veulent automatiser leurs activités, et du coup, faire comme lui, être en capacité d’avoir toutes ces activités en même temps, tout en dormant la nuit, et ça, c’est quand même chouette. Je suis ravie de vous présenter aujourd’hui Nicolas Fatou.
− Bonjour, Nicolas.
− Bonjour, Élise. Merci de m’avoir invité sur la chaîne.
− C’est vrai que je suis ravie de t’accueillir. Ça me fait hyper plaisir de poser toutes ces questions, et je pense qu’il y a plein de choses que tu vas nous partager qui vont beaucoup aider les gens. Pour les gens qui ne te connaissent pas, est-ce que tu peux nous parler de ton parcours ?
− Je m’appelle Nicolas, j’ai commencé à faire de la location courte durée en septembre 2017. J’avais commencé à investir un an plus tôt. Et donc, depuis 2017, j’ai investi dans l’immobilier. Je fais de la location courte durée, et donc, j’ai développé mon patrimoine, comme tu le disais, pour avoir huit appartements plus ma Rp, donc 9 biens que j’ai en détention. Et à un moment donné, j’ai été bloqué par les banques, et donc, j’ai voulu continuer quand même à développer la location courte durée. Je suis donc parti vers la sous-location. Au début, l’idée c’est d’en faire que quelques-unes, et au final, comme tu le disais, j’ai développé tout un business autour de ça. Donc maintenant, je gère plusieurs sous-locations : les miennes, donc j’en ai 20, et puis 15 pour d’autres clients. C’est pour ça que j’ai 35 sous-locations dans cette société. Et comme ça ne suffisait pas, comme tu le disais, en parallèle, comme j’avais beaucoup de personnes qui me posaient des questions : comment tu as fait pour faire tout ça, pour investir autant dans l’immobilier en si peu de temps, comment tu as fait pour créer un business en parallèle de ton activité professionnelle ; j’ai créé une chaîne. J’avais commencé en mars 2020 à créer cette chaîne. Je l’ai créé pendant le confinement, et après, pendant trois-quatre mois, j’avais arrêté. Et puis là, je me suis repris intensément à sortir des vidéos au moins une fois par semaine, pour justement expliquer comment j’arrive à automatiser et optimiser l’ensemble de mes locations courte durée, pour justement, faire toutes ces activités en parallèle, tout en profitant de la vie et du temps libre que j’arrive à créer malgré toutes ces activités. Voilà.
− Oui, parce qu’il faut savoir qu’on était justement en train d’en parler juste avant avec Nicolas, Nicolas revient de vacances. Vous voyez son joli teint bronzé, alors que moi, pas du tout. J’ai le teint très blanc. Moi, j’ai accompagné ma famille en vacances, et j’ai travaillé pendant toutes les vacances. Mais Nicolas, on voit que sa société est construite pour lui permettre d’avoir du temps, et vous allez voir, c’est ça qui est très intéressant. Et ton teint bronzé en témoigne. Alors, pour des gens qui découvrent avec notre interview la sous-location, je vais te poser, Nicolas, la question que, j’imagine, tous les gens qui ne connaissent pas posent : la sous-location, c’est illégal, non ?
− On va dire oui. La sous-location est illégale si vous prenez un bail d’habitation classique, et que vous faites une sous-location avec ça. Même si vous avez l’accord du propriétaire, vous ne pourrez pas louer au-delà du loyer que vous payez à ce propriétaire. Donc, si vous percevez un loyer supérieur au loyer que vous donnez à votre propriétaire, malgré qu’il ait donné votre accord, là, vous tombez dans l’illégalité. Donc là, effectivement, c’est illégal. Par contre, lorsqu’on parle de sous-location, c’est pour ça que j’aime bien utiliser le terme « professionnel », « la sous-location professionnelle », on n’utilise pas un bail d’habitation, mais un bail spécifique à la sous-location. Donc, quand on utilise ce bail spécifique à la sous-location, on est complètement dans la légalité. Et vous imaginez bien que si c’était illégal, je n’en parlerais pas devant tout le monde sur YouTube, et il n’y aurait pas aussi d’autres personnes qui en parlent. Donc effectivement, c’est légal à partir du moment où vous utilisez le bon bail, et à partir du moment où vous maîtrisez, justement, ce bail. Parce que l’intérêt de ce bail, c’est de pouvoir, justement, l’expliquer à vos propriétaires, aux propriétaires que vous allez démarcher pour faire de la sous-location. Parce que comme vous, comme tout le monde, vous allez vous dire : « C’est illégal ». Et ben non, justement, il faut leur expliquer pourquoi ce n’est pas illégal lorsque vous utilisez ce bail. Donc c’est tout un écosystème qu’il faut créer pour que justement, ce système devienne légal, et c’est complètement légal. En fait, c’est un système qui existe depuis des décennies, qui s’est démocratisé grâce à la sous-location. En fait, depuis des décennies, la sous-location existe. On parle souvent de sous-location sur la location courte durée, mais on peut sous-louer, en fait, tous les biens qu’on souhaite. Ça peut être un box, ça peut être un appartement, faire de la colocation, ça peut être un hangar, ça peut être un commerce. Donc la sous-location existe depuis des décennies, et c’est tout à fait légal à partir du moment où on utilise les bons instruments.
− Du coup, toi, tu as fait de la sous-location à partir du moment où les banques ont commencé à bloquer. Est-ce que tu penses que quelqu’un qui regarde notre vidéo, là, et qui est intéressé par la sous-location, mais qui n’aurait pas investi en immobilier en amont, tu penses que c’est réaliste, pour lui, de se lancer en sous-location, ou c’est prématuré ?
− Réaliste. Après, ce qui est vraiment important, c’est de se poser la question du pourquoi. C’est-à-dire est-ce que mon objectif, c’est de me créer vraiment un patrimoine, ou est-ce que mon objectif, c’est de me créer un business ? Donc si mon objectif est de créer un patrimoine, dans ces cas-là, je dirais à cette personne, si tu as la capacité financière, dans ces cas-là, d’acheter du patrimoine, et de l’exploiter, soit en location courte durée, ou d’une autre manière ce bien. Si par contre, l’objectif, c’est de quitter son emploi, de créer un business, de créer une société à part entière, dans ces cas-là, je dirais à cette personne d’aller faire de la sous-location professionnelle sans aucun problème. Qu’il arrive créer un système ou un business de sous-location professionnelle, ce n’est pas compliqué en soi. C’est juste qu’il faut réfléchir à pourquoi on fait ça. Si c’est juste faire ça parce que c’est la mode, et parce que beaucoup de personnes en parlent sur internet, ce n’est pas l’intérêt. Par exemple, mon intérêt de faire ça, au début, c’était que je commençais à être bloqué par les banques, et je voulais continuer à faire de la location courte durée. Parce que l’ensemble de mes biens étaient déjà en location courte durée, et j’avais compris comment ça fonctionnait, et je m’étais dit : est-ce que j’attends un an – deux ans – trois ans que les banques me refinancent, ou est-ce que je continue à développer mon business de location courte durée ? Moi, j’ai décidé de continuer à le développer, en faisant du business de sous-location. Après, si vous n’êtes pas, justement, finançables, et que justement, vous voulez commencer à vous lancer dans la location courte durée, ça peut être effectivement aussi un bon chemin à prendre. Par contre, je le répète, et c’est souvent ce que je dis : quand vous êtes investisseur ou entrepreneur, réfléchissez toujours au pourquoi. Pourquoi je pars dans telle ou telle chose ? Pourquoi je veux faire telle ou telle chose ? Pour que justement, ça ait un sens, et parce qu’il y a des moments où c’est un peu moins facile que d’autres, et il faut toujours, à ce moment-là, lorsque ça devient difficile, réfléchir au pourquoi, on est en train de faire ça, pour ne pas partir la tête dans le guidon. Donc si vous êtes finançable par les banques, je pense que c’est plus important, pour moi, de créer du patrimoine. Si par contre, votre objectif est de développer un business et non du patrimoine, effectivement, lancez-vous directement dans la sous-location. Il ne faut pas de diplôme particulier. Par contre, ce que je vous conseille, c’est de vous documenter, de vous former gratuitement, ou de façon payante, ça, ce n’est pas un problème, mais en tout cas, de vous documenter. Parce que dès que vous partez dans l’entrepreneuriat, et qui plus est, dans la sous-location, on est face à beaucoup de ce que j’appelle souvent des codes juridiques, qui s’imbriquent, et il faut quand même les maîtriser pour ne pas faire n’importe quoi. Après, une fois que vous les maîtrisez, ce n’est pas très compliqué. Mais il faut quand même les maîtriser, pour ne pas partir droit dans le mur, et faire une bêtise. Sur YouTube, et même partout, il y a beaucoup de documentation, maintenant, liée à la sous-location. Et je vous conseille quand même de vous documenter avant.
− Qu’est-ce qui, tu penses, a fait la différence, pour toi, en location saisonnière, et en sous-location ? Est-ce que tu identifies des points-clés qui ont fait que ça a bien marché pour toi ? Tu parlais, tout à l’heure, du fait d’avoir bien su passer à l’action. Est-ce que tu vois d’autres points clés, ou alors qu’est-ce qui fait que… tu as des astuces pour avoir le courage de passer à l’action comme ça ? Ce n’est pas le cas tout le monde, tu vois.
− Moi, c’est vrai que j’ai un tempérament où je passe souvent à l’action. Je pars du principe que si je suis une formation ou que si je lis des choses qui m’intéressent, j’ai plutôt ce tempérament à vouloir tester. Ce qui a fait que dans la location courte durée, par exemple, j’ai réussi. C’est que j’ai incrémenté énormément de choses que j’ai apprises. J’ai surtout appris que faire de la location courte durée, si on voulait que ça fonctionne, il fallait un peu professionnaliser tout ça. Et ce n’était pas juste mettre une annonce sur Airbnb, et attendre que les réservations tombent. Donc, je me suis vraiment documenté là-dessus. Je me documente encore tous les jours là-dessus, parce qu’en plus, la location courte durée, c’est quelque chose qui est assez récent dans le temps, et qui évolue rapidement. Les plateformes évoluent tous les jours, les besoins des personnes. Les mœurs dans la location courte durée ont évolué entre 2017 et aujourd’hui. Donc je mets beaucoup de choses en place, mais des choses toutes simples. Par exemple, moi, je fais passer un photographe professionnel pour avoir des photos… parce qu’on achète avec les yeux. Après, il faut savoir que le triptyque dans une location courte durée, c’est justement la description, le prix, et les photos. Et donc, la description, le prix, et les photos, c’est trois choses sur lesquelles je travaille beaucoup. C’est-à-dire l’ordre des photos, qu’est-ce que je vais prendre en photo, le prix. Je fais très attention, justement, à ce que le prix corresponde au marché pour que ça se loue correctement. Ensuite, par rapport à la description, je détaille un maximum d’informations. Parce qu’en fait, les gens achètent grâce à ce triptyque. Et après, il y a les avis clients qui s’y ajoutent, et qui permettent d’augmenter tout ça. Ensuite, derrière, il faut aussi se poser la question : en fonction du marché dans lequel on est, et ce qu’on vise, quel type de bien on va acheter ou sous-louer pour faire ça ? Voilà, il y a vraiment énormément de choses à vérifier, à checker, pour que ça marche correctement. Une fois qu’on a checké toute cette check-list — c’est comme un business, en fait, une fois qu’on a fait son étude de marché, on peut se lancer. Mais c’est vrai que je passe à l’action, donc j’ai aussi fait des erreurs. Il y a des biens que j’ai achetés pour faire de la location courte durée, ou que j’ai sous-loué, et qui, finalement, ne correspondent plus au marché, donc, j’arbitre mon patrimoine, et à l’inverse, d’autres qui marchent très bien. Mais l’idée, c’est qu’il ne faut pas avoir peur de passer à l’action. C’est sûr que quand on va passer à l’action, on va faire des erreurs, mais ça, c’est comme tout apprentissage, vous allez faire des erreurs. Par contre, il faut baliser tout ça en mesurant le risque que vous prenez sur chacune des choses. C’est vrai que là, on dit que j’ai 35 appartements en sous-location, j’ai huit biens qui m’appartiennent, plus ma Rp, mais au tout début, quand j’ai commencé la location courte durée, je n’avais qu’un seul bien. Je me suis exercé sur un seul bien. J’en ai fait un seul, j’ai exercé. Au début, je faisais l’entrée avec une remise de clés. J’ai vu que ça devenait chronophage, j’ai automatisé ça. Voilà, j’ai mis plein de choses au fur et à mesure, en fonction de mes apprentissages, en fonction de mes erreurs, et aussi en fonction des mœurs et des évolutions de la location courte durée. Ce qui est vraiment important, malgré que vous ayez suivi une formation, c’est toujours de se mettre à jour, et de suivre ce qui se passe. Parce que dans l’investissement immobilier, ou dans la location courte durée, au sens large, ça évolue très vite. Il faut vraiment se documenter, pour justement, être toujours à jour, et que ça se passe au mieux. Après, ce que je voulais juste rajouter, c’est important, si vous décidez d’investir dans l’immobilier, et notamment pour faire de la location courte durée, c’est très important que votre bien soit rentable, alors même s’il n’était pas loué en location courte durée. C’est-à-dire qu’il peut être loué à l’année, en meublé, par exemple, et qu’à ce moment-là, il soit rentable. S’il est rentable à ce moment-là, vous pouvez faire de la location courte durée, c’est la cerise sur le gâteau. Mais surtout, ne prenez pas un bien juste en disant : « C’est rentable à 10 ou 11 % en location courte durée. » Parce que le jour où, comme il y a pu avoir en mars 2020, l’économie s’arrête, et puis il n’y a plus de touristes, d’un seul coup, il faut pouvoir se retourner. Moi, par exemple, j’ai pu me retourner convenablement en louant pendant trois mois en meublé classique, et tout était autofinancé à minima. Soyez très attentif, lorsque vous investissez dans l’immobilier, à avoir des garde-fous. Et ça, c’est un des garde-fous importants. Moi qui coache beaucoup de personnes, j’ai beaucoup de personnes qui, justement, ont pris des biens qui étaient seulement rentables en location courte durée, et non pas lorsqu’ils sont loués à l’année en nu ou en meublé, et ils se sont mis dans de graves difficultés. Donc, c’est important de passer à l’action, mais attention à ne pas mettre la charrue avant les bœufs, et de bien contrôler chaque étape.
− Il y a peut-être une question, aussi, que les gens vont se poser. Quand on devient sous-loueur, comme ça, avec plusieurs appartements, quels sont les différences et les points communs avec la conciergerie ?
− Ce qu’il faut savoir lorsqu’on fait de la conciergerie, de la location ou de la sous-location, il est possible de faire ça dans la même entité, dans la même société. Pourquoi ? Parce qu’il y a des points communs. Les gros points communs, c’est par exemple tout ce qui est lié à la logistique, tout ce qui est lié aux dames de ménage avec qui vous allez travailler, tout ce qui est lié au stockage du linge, ou du partenariat avec des blanchisseries, tout ce qui est lié à l’automatisation des annonces, ou l’optimisation des annonces. Que vous fassiez de la conciergerie ou de la sous-location, vous allez pouvoir le faire dans la même entité. Une dame de ménage, lorsqu’elle va faire un ménage pour une sous-location ou pour un bien que vous avez en conciergerie, elle ne va même pas le savoir, elle ne va pas voir la différence. Mais vous, votre structure est déjà faite. Donc, vous pouvez lier les deux sans aucun problème. Après, si vraiment, dans l’avenir, une des deux activités prend vraiment le dessus, dans ces cas-là, je vous conseillerais peut-être de dissocier ces deux activités. Pourquoi ? Parce que la conciergerie, au bout d’un moment, si vous dépassez un certain seuil, va être assujettie à la TVA vu que vous faites de la prestation de services, alors que la sous-location, comme vous ne faites pas d’activité parahôtelière, ne sera pas assujettie à la TVA. Donc, pour ne pas que ça devienne une usine à gaz, il sera peut-être intéressant, dans ces cas-là, de séparer les deux entités. Mais au début, lorsque vous lancez une activité, vous n’allez pas créer deux entités qui vont vous coûter de l’argent, alors que vous pouvez tout faire dans la même entité. Et après, vous créez, et puis après, soit vous développez les deux branches, puis il y en a une qui va prendre le dessus. Mais si vraiment, une prend le dessus, il faudra peut-être créer deux entités. Ensuite, dans les grandes différences, déjà, ça, c’est une des différences, c’est-à-dire qu’il y a une des activités qui sera assujettie à la TVA, et l’autre non. Et ensuite, ce qui est vraiment important à savoir, c’est la prise de risque, au début. Lorsque vous allez faire de la conciergerie, il y a très peu de risques au début. C’est-à-dire que logiquement, vous n’avez pas de prêt à mettre en place ; si la location courte durée s’arrête du jour au lendemain, vous n’êtes pas engagé avec des baux comme en sous-location, vous n’avez pas mis des cautions en place. Et donc, la prise de risque est plus faible, mais par contre, le gain est aussi plus faible. C’est souvent ce que je dis. Ça, c’est des moyennes, hein. Ça tout dépend toujours des biens que vous allez prendre en conciergerie ou des biens que vous allez prendre en sous-location, mais en conciergerie, vous allez vous faire entre 150 et 350 euros par mois par appartements, en bénéfices, parce que vous allez devoir payer vos dames de ménage, vous allez devoir créer votre site internet… Tout ça, c’est des charges qu’il va falloir prendre en compte. Et en sous-location, là, il y a une prise de risque un peu plus importante. Vous allez vous engager via un bail, même s’il y a une certaine flexibilité, parce que derrière, on peut faire des préavis. Vous allez donner un mois, voire deux mois de caution ; vous allez payer un loyer. Il y a des frais plus élevés au démarrage, mais avec un gain potentiel plus important. Souvent, on part entre 350 et 500, voire 600 euros de bénéfices par mois par appartement. Donc, en fait, les deux sont très bien, parce qu’il y a des points positifs, et les deux ont aussi des points négatifs. C’est-à-dire que d’un côté, il y a une prise de risque plus importante, sur la sous-location que sur la conciergerie, mais sur la conciergerie, il y a un gain plus faible, et surtout, des comptes à rendre à des clients. Surtout, il faut avoir en tête que d’un côté, vous êtes un prestataire de service, quand vous faites de la conciergerie. Et lorsque vous faites de la sous-location, vous êtes tout seul avec vos propriétaires et votre propre structure. Donc après, ça dépend aussi de votre tempérament, et si, dans votre relation clientèle, vous vous sentez à l’aise ou pas. Parce qu’effectivement, en conciergerie, les clients, et à juste titre, les propriétaires sont de plus en plus exigeants. Ils payent un service, et donc, vous avez aussi des comptes à rendre. Et ça, il faut savoir l’organiser, parce que vous allez avoir des comptes à rendre à vos voyageurs, et des comptes à rendre à vos propriétaires. Alors que lorsque vous faites de la sous-location, les seuls comptes à rendre, c’est à vos voyageurs et à votre équipe. Vous n’avez pas de propriétaire à qui rendre des comptes, parce que les seuls comptes à rendre à ses propriétaires, c’est de les payer tous les mois par rapport au bail qu’on a convenu. Et eux, ils ne se préoccupent même pas du bien. C’est juste que tous les mois, qu’il y ait le loyer qui a été convenu ensemble. Donc il y a des avantages et des inconvénients de chaque côté. Je pense que si vous voulez commencer, faites tout dans la même structure. C’est tout à fait faisable. Et après, testez les deux. Et si vous vous sentez plus à l’aise sur l’un ou sur l’autre, développez vraiment cette activité. Mais je connais des personnes qui ont développé ces deux activités en parallèle. Moi, j’ai voulu le faire, mais je m’étais associé, sur la partie conciergerie, avec un associé, et ça a duré un peu plus d’un an, mais après, on ne s’entendait plus, donc j’ai arrêté de m’associer. Donc j’ai revendu ses parts à mon associé, mais à la base, j’étais parti pour ça. Et donc là, maintenant, je me suis concentré uniquement sur la sous-location, où je me sens beaucoup plus à l’aise dedans. C’est pour ça, je reviens toujours à ce que j’ai dit tout à l’heure : savoir le pourquoi vous faites ça, connaître vos points forts et vos points faibles, au-delà de connaître les risques de la sous-location, de la conciergerie, savoir où vous allez vous sentir le plus à l’aise.
− Après, c’est vrai que quand on est sous-loueur, on a moins de temps à passer à défendre la qualité du travail auprès des propriétaires. Ça, c’est sûr. Maintenant, est-ce que tu ne penses pas qu’en sous-location, il y a quand même plus de temps à passer à la prospection ? Parce que prospecter, quand on est en conciergerie, c’est un brin plus facile que prospecter quand on est sous-locataire. Non ?
− Je pense que sur la prospection, le temps, il est similaire. C’est surtout réussir à convaincre les propriétaires.
− Oui, c’est ça.
− Pour convaincre, effectivement, des propriétaires en sous-location, c’est plus difficile que de convaincre des propriétaires qui viennent vous voir ou vous allez prospecter pour la conciergerie. Donc effectivement, le nerf de la guerre dans la sous-location, c’est de connaître exactement les argumentaires à proposer à vos propriétaires pour qu’ils s’engagent avec vous pour faire de la sous-location. Qu’est-ce que souhaite un propriétaire ? Qu’est-ce que soit un bailleur ? Il souhaite que son bien soit correctement entretenu, et qu’il ait la garantie d’être payé. Ce qui est important lorsque vous faites de la sous-location et que vous allez voir des propriétaires, c’est de les convaincre sur ces deux points-là. Donc sur la partie garantie d’être payé, dire simplement : « On est une société, on ne signe pas ensemble de bail d’habitation, donc comme on ne signe pas de bail d’habitation, il n’y a pas de trêve hivernale, et si un jour, il y a un impayé de la part de notre société, comme il y a une clause résolutoire dans le bail qu’on est en train de signer ensemble, le bail spécifique, au bout d’un mois, vous pouvez me foutre dehors, et en plus m’attaquer au tribunal de commerce du secteur, où j’aurai des comptes à vous rendre à ce moment-là. Mais ce qui est sûr, c’est qu’au bout d’un mois, vous allez récupérer votre bien, et il n’y a pas d’histoire de trêve hivernale ou autres. Donc là, c’est une garantie. Qui plus est, tous les trois mois, je peux vous envoyer haka bis pour vous prouver de la bonne santé de notre entreprise, alors qu’une personne qui vient pour louer votre appartement via un bail d’habitation, elle vous donne tous les justificatifs au début, mais si dans six mois, elle perd son travail, vous n’allez jamais le savoir, et c’est donc une prise de risque un peu plus important. » Pour tout ce qui est la garantie de bien entretenir le bien, souvent, moi je leur donne le lien de mes annonces : « Vous allez sur Airbnb, vous allez sur Booking, et en temps réel, vous allez voir les commentaires des clients, donc vous allez voir qu’on entretient bien votre bien. Alors que si vous faites de la location classique, vous ne pourrez pas suivre ce qui se passe dans votre habitation. Vous ne le verrez qu’à la fin, lorsque vous récupérerez les clés. » Donc ça, c’est important. Et qui plus est, dans le bail spécifique de sous-location, il y a une certaine flexibilité. Dedans, il y a un préavis pour le bailleur et pour le loueur, le preneur. Donc, le bailleur, si à un moment donné il considère que – je ne sais pas pourquoi – les avis ne sont pas assez bons, ou il veut récupérer son bien, il respecte le préavis qu’on a mis dedans, sachant que le préavis peut être négociable. Ça peut être à partir d’un mois, ça peut être trois mois, quatre mois, cinq mois, six mois. Et le propriétaire récupère son bien beaucoup plus facilement que dans un bail d’habitation. Donc, c’est beaucoup d’avantages pour lui. Ce qui est difficile, c’est : « Oui, mais pourquoi on ne me l’a pas proposé avant ? C’est tout nouveau, jamais entendu parler. » C’est vrai, c’est là où il faut convaincre. Souvent, il faut essayer d’aller convaincre, aussi, les propriétaires qui sont eux-mêmes investisseurs. Souvent, des investisseurs, vous allez les convaincre plus facilement, parce qu’ils vont comprendre la logique de ce que vous mettez en place. Donc moi, pas souvent, mais au début, lorsque j’ai commencé, j’ai été dans des clubs affaires, des clubs business, parce que là, vous êtes avec des gens qui ont un certain pouvoir d’achat, qui ont des biens immobiliers, mais qui n’ont pas le temps de s’en occuper, mais qui ont cette fibre entrepreneuriale. Et lorsque vous leur expliquez le projet, ils comprennent assez rapidement. Alors qu’un particulier, je ne dis pas que c’est faisable, parce que je le fais maintenant, mais au début, lorsque vous voyez un particulier, lui, il va voir le fait que vous allez profiter, c’est à dire que vous allez louer un bien 700 euros par mois, et vous, vous allez vous faire 2000 euros de chiffre d’affaires, parce que vous louer sur Airbnb. Donc, ils ne vont pas comprendre la logique. Eux, ils vont percevoir ça comme : « Vous allez gagner de l’argent sur mon dos. » Alors qu’un entrepreneur, il va comprendre ça comme : « J’ai quelqu’un qui peut s’occuper de mon bien, moi j’ai une garantie, tous les mois, de loyer, je vais être sûr que ce sera bien entretenu, et lui, il fait son business, il gagne sa vie avec ça. » Maintenant, c’est beaucoup plus facile pour moi. Maintenant, on vient me contacter. Pourquoi ? Parce que maintenant, j’ai la preuve sociale. La chaîne YouTube, c’est une chose, mais surtout, je commence à me créer un réseau, parce que j’ai investi dans trois villes, spécifiquement. Je ne me disperse pas. Et donc, ce sont des gens qui viennent me contacter maintenant : des particuliers qui me contactent, parce que du bouche-à-oreille, les gens comprennent tout l’intérêt qu’ils ont à passer par moi pour faire de la sous-location. Mais là, les tips que je voulais donner, c’est surtout que lorsque vous commencez à aller chercher des investisseurs, des clubs business ou des clubs Airbnb, allez là-dedans. C’est là-dedans que vous allez pouvoir prospecter plus facilement, parce que là, vous allez avoir des gens face à vous, en tout cas, une grande partie, qui est ouverte, et qui va comprendre ce que vous êtes en train de faire. Si au début, vous allez sur le bon coin et juste chercher des particuliers, vous allez avoir beaucoup de refus.
− Je ne sais pas si tu t’en rends compte, mais c’est des pépites que tu nous as données là.
− Oui.
− C’est vrai, franchement. Tu nous as donné toute une liste d’arguments. Franchement, si vous voulez devenir sous-loueur, ou si vous êtes déjà sous-loueur, reprenez la vidéo en arrière sur les cinq – dix dernières minutes, et notez tous les arguments que Nicolas nous a donnés. Parce qu’en fait, tu nous as étayé 3 – 4 arguments à donner aux propriétaires pour les convaincre. C’était hyper intéressant. On sent que tu as l’habitude de convaincre des propriétaires pour de la sous-location, et leur présenter le truc sur ce sujet.
− Et puis l’argumentaire s’est fait au fur et à mesure. Après, il ne faut pas se leurrer. C’est comme tout business, comme toute prospection. Dans n’importe quel business, au début, c’est beaucoup plus dur que par la suite. Donc au début, il ne faut pas se décourager lorsque vous allez avoir des refus, malgré que vous utilisez, par exemple, l’argumentaire que je viens de donner. C’est normal, ça fait partie de tout business. Même si vous faisiez un autre business, vous seriez épicier ou vendeur de voitures, au début, les gens sont réticents, parce que vous n’avez pas de preuve sociale. Et au fur et à mesure… Le plus dur, c’est de convaincre les premiers clients, les premiers propriétaires. Une fois que vous avez réussi à les convaincre, après, c’est beaucoup plus facile. Comme je le disais, je te l’ai partagé en off, mais moi, j’ai un propriétaire qui m’a appelé il y a six – sept mois maintenant, qui m’a dit moi : « J’ai un terrain, je vais construire des maisonnettes dessus. Si vous voulez, on travaille ensemble. Vous me dites tout ce qu’il faut faire pour faire de la sous-location, et les quatre maisonnettes, c’est pour vous. » Pourtant, c’est un particulier. C’est juste qu’il a entendu parler de moi, et il s’est dit : « Avec lui, je suis garanti. Je ne vais pas trouver quatre locataires, j’en ai qu’un seul. Je suis sûr d’être payé tous les mois, et en plus, ils vont entretenir mes biens. » Donc voilà. Moi, j’ai commencé en décembre 2019 la partie sous-location, donc ça se fait au fur et à mesure toute la partie preuve sociale. Mais pour vous dire que par la suite, si vous faites les choses sérieusement, la partie prospection va prendre beaucoup moins de temps. Moi, je ne prospecte même plus. Sur la partie sous-location, c’est les gens qui me contactent, et c’est même moi qui deviens difficile ou j’arbitre mon patrimoine en sous-location. Il y a même un bien, là, par exemple, au mois de décembre 2021 que je vais arrêter, parce qu’il n’est pas assez rentable à mon goût. Et donc, j’arbitre la partie sous-location de cette manière. Tout ça pour vous dire qu’au début, c’est comme tout, il faudra ramer un peu. Et après, si vous faites bien les choses, ça va se passer correctement.
− Oui, et c’est vrai que cette posture-là, au-delà d’avoir une société qui fonctionne, à un moment donné, quand tu peux commencer à faire des choix, comme tu le disais, c’est aussi des choix qui prennent le soin d’augmenter encore la rentabilité de l’entreprise. C’est vrai que tu en avais parlé sur les réseaux sociaux. On travaille pour tes appartements, Nicolas, et le fait qu’à un moment donné, tu puisses dire : « Ça, oui, ça non » ; et un client qui, par exemple, vient te voir en disant : « je vais faire tout ce que vous voulez », par exemple, ce client-là, c’est des appartements sur lesquels, même du point de vue des tarifications… il a mis en place tout ce que tu lui as demandé. C’est l’idéal ! Donc après, d’un point de vue tarification, c’est plus facile d’aller faire des choses qui sont ultra-rentables pour toi. Alors ça, c’est peut-être la seconde étape pour les gens qui se lancent, mais il faut savoir qu’à un moment donné, on peut arriver là. Et tu as raison d’en parler. Je sais que tu es coach. Tu en as parlé un peu. Tu coaches des loueurs saisonniers qui veulent apprendre à automatiser comme toi. Est-ce que tu as vu des erreurs que tu peux partager aux gens, pour leur permettre d’éviter de faire ça ? Est-ce que tu vois des choses qu’il faut éviter ?
− Effectivement, j’aide beaucoup de personnes à automatiser ou à optimiser leur location courte durée. Et c’est vrai qu’au quotidien, je vois des personnes qui font des erreurs, et des erreurs que j’ai faites. Donc je ne pointe pas du doigt. Par exemple, des gens, comme je disais tout à l’heure, qui vont dire : « Moi, j’ai un bel appareil photo, donc je vais prendre les photos moi-même. Parce que j’ai un iPhone 10 ou un iPhone 12, je vais prendre de belles photos. « OK, tu as un bel appareil photo, par contre, tu n’es pas photographe. Ce qui fait que les photos que tu mets en place sur Airbnb ou sur Booking ne mettent pas en avant, comme il le faut, ton bien. Ce n’est pas assez lumineux, tu prends des photos format portrait, alors qu’il ne faut prendre que des photos format paysage. Airbnb et Booking te laissent la possibilité d’avoir en format paysage, tu les mets au format portrait. Tout ça. En plus, les photos, tout ce que tu mets dessus, il y a plein de choses où il faut épurer les photos. C’est-à-dire que tout ce qui est poubelle, sachets poubelles, il faut l’enlever lorsque vous faites les photos pour le marketing, et donc pour mettre vos annonces. À l’inverse, il fait faire vivre ces photos, en mettant, par exemple, en place, un petit déjeuner sur la table, en mettant en place une bouteille de vin sur la table, pour donner de l’émotion, et donner envie. Pourquoi ? Parce qu’on achète avec les yeux. C’est comme lorsque vous allez sur Amazon, lorsque vous achetez un produit, vous l’achetez avec les yeux. Donc si les photos, déjà, elles ne sont pas de qualité, vous vous dites inconsciemment, même si ce n’est pas vrai, que le produit ne sera pas de qualité. Les gens pensent la même chose lorsqu’ils vont sur Airbnb. Si les photos ne sont pas de qualité, on pensera que le produit n’est pas de qualité. Alors que c’est peut-être faux. Mais ça, c’est la première chose à mettre en place. Deuxièmement, j’ai des gens pareils sur Airbnb, ou même sur Booking, qui ne vont pas remplir l’ensemble de leurs annonces. C’est-à-dire que sur Airbnb, il y a énormément de choses à remplir. Il y a des choses obligatoires et des choses facultatives. Si vous ne faites que les choses obligatoires, déjà, l’algorithme d’Airbnb va considérer que l’annonce n’est pas complète. Elle ne sera pas mise en avant comme elle pourrait l’être. Donc déjà, il faut remplir l’ensemble des éléments. Pareil, sur Booking, il y a des pastilles rouges quand vous ne remplissez pas correctement vos annonces. Pareil, il faut tout remplir. Plus vous donnez d’éléments à l’algorithme de Booking et Airbnb, il n’y a pas que ça, mais c’est un des facteurs qui permet aussi de mettre en avant votre annonce, et pareil, les voyageurs, ça leur permet d’avoir le maximum d’informations. Ce serait dommage, parce qu’on a oublié de mettre qu’il y a un lave-vaisselle ou une machine à laver dans l’appartement et que d’autres personnes l’ont mis, votre annonce n’apparaît pas. Donc moi, quand je fais du coaching, souvent, ils me disent : « Je n’arrive pas à bien louer sur Airbnb et Booking. » La première chose que le leur dit, c’est qu’on va voir ton annonce ensemble. Donc on garde le triptyque, comme je le disais tout à l’heure : le prix, les photos et la description. Et souvent, quand on fait le point, on s’aperçoit que soit que les photos ne sont pas de bonne qualité, si elles sont de bonne qualité, on voit que dans la description, il manque énormément de choses. Par exemple, cette personne avait un parking, et ce n’est pas indiqué. Donc la personne, lorsqu’elle cherche un parking, met le filtre, et son annonce n’apparaît pas. Donc, ce sont des choses toutes bêtes. Pareil, on voit aussi des gens qui perdent du chiffre d’affaires, parce qu’ils veulent casser les prix, en disant : « Moi, je veux que mon taux de remplissage soit élevé. » Mais lorsqu’on est dans la location courte durée, il ne faut pas avoir la même logique qu’en location classique. Le but, ce n’est pas de louer le plus rapidement possible. C’est-à-dire que si là, actuellement, vous avez trois mois d’avance ou deux mois d’avance sur votre calendrier, et que vous me dites que votre calendrier est plein, c’est que vous avez un problème sur le tarif. Ce n’est pas normal que votre bien soit plein à trois mois d’avance. Moi, j’ai fait ces erreurs au début. Je me disais : « Ça me rassure, c’est loué, je suis tranquille, je suis sûr d’avoir de l’argent à la fin du mois, je peux payer mes charges, mes crédits. » Qui plus est, maintenant, avec le Covid, les gens veulent beaucoup de flexibilité. Ils réservent beaucoup à la dernière minute, et donc, c’est normal que pour la semaine prochaine, il vous reste encore des dates de libres. Ça ne sert à rien de casser les prix. Les gens vont venir réserver au fur et à mesure. Donc ça, je l’ai appris à mes dépens. Je l’ai aussi appris avec toi, vu que tu m’accompagnes sur cette partie-là, et ça, c’est aussi des erreurs qui arrivent souvent. Pareil, une troisième erreur qui arrive souvent, c’est dans le référencement des annonces. Vous allez sur Airbnb, vous allez sur Booking, vous allez sur Google my business, vous allez sur Expedia : les gens ont le même appart, mais mettent quatre noms différents. Ce qui fait que l’algorithme Google, lui, ne comprend pas que c’est le même appartement. Ce qu’il faut savoir, c’est que les gens, et vous le faites tous lorsque vous cherchez des vacances, vous prenez le titre de l’hôtel à part, que vous avez vu dans Google, vous faites un copier-coller, et vous regardez les autres avis, et si vous ne pouvez pas trouver moins cher à droite ou à gauche. Les gens, quand vous allez faire ça sur Airbnb, vous collez le titre dans Google, et Google ne va pas comprendre que Booking, c’est la même annonce que Expédia, c’est la même annonce. Pourquoi ? Parce que vous n’avez pas mis le même titre sur les mêmes sur les annonces. Et vous allez voir un hôtel, l’hôtel Mercure du coin, il s’appelle de la même manière sur Expedia ou sur Booking. Il n’a pas deux noms différents. Ce n’est pas « hôtel avec vue mer » d’un côté, et de l’autre côté, « hôtel Mercure 4 étoiles ». Il a le même nom. Pourquoi ? Pour que justement, les gens percutent rapidement que ce soit le même hôtel, ou le même appartement. Et pareil, pour que Google comprenne dans l’algorithme qu’il y a des mots clés qui se répètent de façon récurrente sur des pages différentes, et que c’est donc des mots clés importants. Et donc, c’est comme ça aussi que les choses ressortent. Donc moi, ce que je conseille surtout aux gens, c’est de mettre le même nom sur Airbnb, Booking, Expédia. Toutes les annonces où vous mettez votre annonce, toutes les plateformes où vous mettez votre annonce, vous mettez bien le même nom pour que ça améliore le référencement, et que les gens comprennent qu’on est sur le même appartement. Donc ça, c’est 3 – 4 astuces très simples à mettre en place, mais qui permettent déjà de surpasser ses concurrents. Et surtout aussi, le dernier point, d’avoir des calendriers qui sont correctement synchronisés. Parce que ça, les plateformes détestent lorsqu’il y a soit des surbookings, ou soit des calendriers qui ne sont pas mis à jour. Les plateformes détestent, et vos voyageurs aussi. Donc, c’est important de synchroniser vos calendriers. Moi, je prône toujours l’utilisation d’un Chanel manager pour ça. Beaucoup de personnes me disent que pour un seul bien, ça ne vaut pas le coup. Moi je vous dis que si. Ça vaut le coup, parce que ça permet de dormir sur leurs deux oreilles. La synchronisation se fait correctement, et surtout, l’avantage d’un Chanel manager, c’est que ça permet d’automatiser un ensemble de choses. Et donc, je vous le conseille grandement. Un Chanel manager, maintenant, c’est à peine le prix d’une nuitée, voire moins, d’un de vos appartements. Donc franchement, pour le prix d’une nuitée, je trouve ça dommage de vous enquiquiner tous les jours à synchroniser vos calendriers, ou d’utiliser simplement le calendrier ical que vous proposent Airbnb et Booking, avec des sources d’erreurs importantes. Parce que le i call, ce n’est pas ce qu’on appelle une synchronisation à deux sens, c’est une synchronisation à un seul sens. Donc, il y a des risques d’erreurs qui sont assez importants. Et je le vois encore quotidiennement, des gens qui me disent : « J’ai un surbooking, pourtant, je suis en i call. » Effectivement, i call, ce n’est pas fait pour avoir des synchronisations instantanées. Et des personnes qui s’embêtent tous les jours à envoyer des messages à leurs voyageurs pour dire toujours la même chose. Je reprends l’exemple d’Amazon. Quand vous allez sur Amazon ou quand vous louez un appartement ou un hôtel chez Ibis, vous recevez un message automatique tout de suite. Et pourtant, vous allez quand même là-bas. Ou vous allez quand même prendre le produit Amazon. Pourquoi ? Parce que vous vous en fichez que ce soit une machine qui envoie ce message, ou si c’est un être humain. Vous voulez juste avoir les informations par rapport à votre commande, ou par rapport à votre réservation. Donc c’est important d’automatiser un maximum de choses. Après, vos voyageurs vont sans doute vous poser des questions plus détaillées sur certaines choses. Là, vous pouvez répondre, il n’y a pas de souci. Mais dans 95 % des cas, la plupart des réponses seront dans vos messages automatiques. Vous allez gagner énormément de temps. Et moi, je le vois au quotidien, beaucoup de gens disent : « Oui, mais la qualité des notes diminue. » Pas du tout ! La qualité des notes ne diminue pas du tout. Parce que les gens que je cible sont des gens qui cherchent à rentrer, justement, en autonomie, dans un bien, et qui ne sont pas frustrés par l’automatisation. Et c’est marqué dans mon annonce que l’entrée est en autonomie, c’est automatisé, etc. Donc, les gens qui viennent dans mes appartements sont des gens qui sont sensibilisés à ça, et qui ne souhaitent pas spécialement rencontrer le propriétaire ou rencontrer des gens. Ils veulent par contre un bien pour se sentir comme à la maison et se sentir à l’aise. Par contre, des gens qui visent effectivement à chercher le contact humain ou autres, ils vont regarder certaines annonces plus spécifiques sur Airbnb, ou chercher des maisons d’hôtes. Je ne vous aurais pas dit ça en 2017, au début de mon aventure en location courte durée. Mais maintenant, l’automatisation, l’entrée automatique, les messages automatiques, c’est rentré dans les mœurs. Et les gens, beaucoup cherchent ça lorsqu’ils vont sur Airbnb. C’est vraiment des clients que vous devez cibler.
− Tout à fait. J’ai entendu aussi, comme toi, des préjugés sur le fait d’automatiser, notamment les arrivées. Et il y a aussi un point important que les gens oublient. Les gens qui n’ont pas encore testé de l’automatisation, le check-in autonome, peuvent se dire : « Oui, mais quelle clientèle ? » Tu vois, ça va être quel type de clientèle qui va être intéressé par ça. Au final, on oublie que la clientèle affaires, qui est une excellente clientèle, qu’on a vraiment envie de capter, elle adore ça, justement, les arrivées autonomes. Parce que le gars qui est commercial, il n’a pas envie de se casser la tête à retrouver quelqu’un. Il ne sait pas à quelle heure il va arriver, il ne sait pas quand son rendez-vous client va se terminer. La personne en formation, pareille. Et c’est des gens qui adorent l’arrivée autonome. Ce n’est pas forcément une clientèle particulièrement négative, c’est des gens qu’on a envie d’avoir dans nos apparts.
− C’est sûr. Pour les personnes qui ont peur d’avoir une certaine clientèle chez eux, c’est surtout sur le tarif qu’il faut jouer. Et donc, justement, ne pas brader les tarifs. Parce que lorsque vous bradez les tarifs, c’est là où, effectivement, vous pouvez avoir une clientèle qui vous mette en difficulté, et qui ne corresponde pas à vos attentes. Par contre, l’entrée automatisée, ce n’est pas là-dessus que vous allez filtrer ou non la clientèle. Qui plus est, effectivement, l’entrée automatisée est de plus en plus recherchée par les personnes, même des touristes. Moi, je le vois à Dijon. J’ai beaucoup de Néerlandais, par exemple, qui coupent la route en deux pour descendre dans le sud de la France. Ils ne savent pas à quelle heure ils vont arriver à Dijon, ils me le disent tout de suite : « Je ne sais pas, avec la route, les bouchons, je peux peut-être arriver à 17 heures comme à 22 heures. Comment ça se passe, l’entrée ? » Donc, je leur dis entrée automatisée, et ça les rassure. Ils se disent : « Je ne vais pas être bloqué devant la porte, j’ai le code, je peux rentrer tranquillement avec ma petite famille, et je n’ai pas à vous attendre pour la remise des clés. » Donc c’est pour ça que je dis que c’est rentré dans les mœurs. Beaucoup de gens sont intéressés par ça, beaucoup de gens sont de plus en plus mobiles, et ont besoin d’une certaine flexibilité pour rentrer dans les appartements ou dans les biens. Par contre, les gens qui recherchent vraiment le contact humain, ne vous inquiétez pas, ils vont chercher dans les lieux où ils auront ce contact humain, comme je disais tout à l’heure, les maisons d’hôtes où dormir chez l’habitant, où là, effectivement, ils seront en contact avec les gens, mais ils le savent très bien.
− Oui, c’est ça. Bon, je pense que là, tu nous as fait un bel état des lieux de ton expertise que tu as développé pendant toutes ces années. C’était hyper intéressant, tant sur la société, la sous-location, et même tes biens en location saisonnière externe. Maintenant la question qu’on se pose tous, je pense. Je parle au nom des gens qui nous regardent. Nicolas, comment fais-tu pour faire ça ? Avoir fait tout ça pendant toutes ces années en plus de ton CDI, sachant que les gens ne le savent peut-être pas, mais moi je le sais, parce qu’on se connaît un peu. Je veux dire que tu n’es pas un geek seule dans son appartement, derrière son ordi, c’est-à-dire que tu as une femme, tu as des potes, tu étais en vacances avec un ami la semaine dernière, tu vois. Donc voilà, tu as une vie tout à fait normale et épanouie, une vie sociale, une vie professionnelle, et une vie de chef d’entreprise. Est-ce qu’il y a des clés qui ont fait que tu penses que ça a marché pour toi ?
− Une des clés, je reviens à ce que je disais initialement dans la vidéo, je me rappelle toujours du pourquoi j’ai commencé aux premiers abords à investir dans l’immobilier, et après devenir entrepreneur, c’est-à-dire de me dégager du temps et d’avoir une certaine liberté. Donc moi, effectivement, tout ce que je crée autour de mon activité professionnelle principale, comme là, mon investissement ou mon entrepreneuriat, derrière, je crée une structure qui peut tourner toute seule, qui doit tourner toute seule. Donc c’est pour ça, et je le dis souvent, moi, dans ma structure, dans ma société, j’ai trois piliers. La première c’est d’automatiser tout ce que je peux automatiser. Tout ce que je ne peux pas automatiser, je le délègue, pour que justement, ce ne soit pas à moi de travailler dans le business, mais je travaille au-dessus du business, pour que je puisse le piloter. Et troisièmement, je standardise un maximum de choses dans mes locations en courte durée. Standardisation, ça ne veut pas dire que tout se ressemble, mais qu’il y a certaines choses qui se ressemblent. Par exemple, toute ma vaisselle, c’est Kia. Toute ma machine à café, c’est Senseo. Pourquoi ? Parce que si j’ai un problème, une vaisselle qui casse, mon équipe ou moi-même, on ne va pas courir à droite à gauche pour retrouver exactement la même vaisselle. On va chez Kia, on sait qu’on va se retrouver, notre fournisseur va pouvoir nous donner tout ce qu’il faut. J’ai un problème avec une machine à café, je sais exactement où je l’ai acheté, je vais récupérer les pesetas ou je rachète une Senseo directement. Et je ne vais pas m’embêter lorsque je vais faire le réassort, m’arracher des dosettes de café en me disant : « Là, c’est du Nespresso, là, c’est de chez Gusto, là, c’est autre chose », et galérer lorsqu’on va faire les courses. Tout ça fait qu’au fur et à mesure, on gagne énormément de temps et d’énergie. Effectivement, avec la délégation, on peut se dire : « Oui, mais ça fait perdre en marge et en rentabilité. » C’est vrai. Si je fais tout moi-même, je gagne en rentabilité et en marge. Par contre, je n’ai plus de vie, et effectivement, je deviens un geek, et toute la journée je passe des heures derrière mon ordi, ou soit sur le terrain à gérer les choses. Le problème, c’est que dans ces cas-là, ça ne correspondrait plus à mon pourquoi. Mon pourquoi, c’est de créer une activité à côté, qui va me permettre de me libérer du temps par la suite. Pourquoi ? Parce que mon objectif, c’est un jour de quitter mon activité professionnelle que j’ai actuellement. Mais pour l’instant, je ne la quitte pas. Pourquoi je ne la quitte pas ? Pour plusieurs raisons. La première, j’aime toujours ce que je fais. Deuxièmement, j’ai une activité professionnelle qui me permet quand même d’avoir une facilité d’emprunter à la banque. C’est pour ça d’ailleurs que depuis 2017, j’ai réussi à acheter mes huit biens pour faire de l’investissement locatif. Donc voilà, c’est un sacré avantage, donc je le garde. Parce qu’il ne faut pas l’oublier, même si beaucoup de personnes vont vous vendre du rêve sur internet ou sur YouTube, lorsque vous allez devenir entrepreneur, vous allez sortir de toutes les cases des banques. Donc ça veut dire que pendant plusieurs années, ça va être compliqué, en tout cas tout seul, hormis si vous vous associez avec des gens, de continuer à investir dans l’immobilier. Je ne dis pas que c’est impossible. Tout est toujours possible. Mais en tout cas, c’est difficile. C’est-à-dire que même si d’un seul coup, vous vous dites : « Moi, j’arrive à sortir 1500 euros et 2000 euros de ma société de salaire tous les mois. » Sachant que si vous sortez 1500 ou 2000 euros de salaire tous les mois, ce n’est pas 2000 euros qu’il faut de bénéfices dans une société, mais au moins le double, et surtout laisser de la trésorerie dans la société pour la protéger. Derrière, vous n’allez pas devenir banquier facilement. La banque va vous dire : « Vous n’avez plus de CDI, là, vous venez de créer une société, vous n’avez pas encore assez de bilans comptable, vous êtes donc une personne à risque pour nous. On ne peut pas continuer à vous financer de cette manière-là. » C’est pour ça que lorsque j’entends, sur internet : « Tu peux te dégager un SMIC avec deux sous-locations », oui, c’est vrai. Techniquement, ça fait 1200 euros. Mais déjà si je me sors ces 1200 euros de la société, ça ne fait plus 1200 euros. Et si vous arrivez à la banque pour investir avec ça et faire du patrimoine, il y a de grandes chances qu’ils vous disent non. C’est la réalité. Donc moi, c’est pour ça qu’aujourd’hui, je maintiens mon activité professionnelle à côté. Et dernièrement, l’avantage d’avoir une activité professionnelle à côté, ça m’oblige à faire ce que j’ai dit au début, c’est-à-dire de créer une société qui puisse tourner toute seule. C’est-à-dire que moi, j’ai mon activité professionnelle, et comme j’ai mon activité professionnelle, je ne pense pas à la sous-location, je ne pense pas à mon business, ça tombe tout seul. Parce que j’ai des gens qui sont là pour faire fonctionner les choses. Et justement, mon objectif, c’est que le jour où je quitte mon activité professionnelle actuelle, ce n’est pas pour me recréer un deuxième métier. Sinon, je garde mon métier actuel et je n’ai pas besoin de m’enquiquiner pour ça. Donc l’idée, c’est par contre, quand je quitterais mon activité professionnelle, d’avoir encore plus de temps libre que j’ai actuellement, et d’apporter, justement, les plus-values que moi, je souhaite apporter. C’est-à-dire d’aider les gens, coacher les gens. Ça, c’est vraiment la plus-value que je souhaite apporter, parce que ça correspond à ma personnalité, ça correspond à mon pourquoi. Donc c’est vrai que c’est je reviens à ce que je disais tout à l’heure, je réfléchis toujours à pourquoi je voulais faire ça. Après, il y a des gens, peut-être qu’ils ont une activité professionnelle très difficile, qu’ils veulent la quitter ; parce qu’ils sont en burn-out, ils sont en difficulté, etc. Et peut-être qu’ils vont avoir complètement un état d’esprit différent, vous dire : « Moi, je ne veux rien déléguer, mais je veux au maximum tout faire tout seul, parce que je sais que dans tous les cas, ça sera toujours mieux que ce que je vis actuellement. »Et pourquoi pas ? Il n’y a pas mieux, ou moins bien. C’est juste qu’il faut toujours réfléchir à pourquoi vous faites ça, pour justement, pour ceux qui ne veulent pas se créer une deuxième activité, vous créez une deuxième activité et vous devenez esclave de la location courte durée, et ça serait une grave erreur. Ou à l’inverse, ceux qui veulent vraiment quitter leur activité professionnelle actuelle, parce que ça devient très difficile pour x raisons, dans ces cas-là, de développer ça, peut-être, en déléguant un peu moins. Mais par contre, il va falloir quand même automatiser et standardiser beaucoup de choses. Et c’est pour ça que lorsque je fais les coachings, c’est la première chose que je demande. Je demande à la personne de se présenter et d’expliquer le pourquoi du comment elle veut mettre les choses en place. Et après, on personnalise justement l’accompagnement qu’on met en place en fonction du pourquoi de cette personne. L’idée, ce n’est pas que les gens fassent exactement, à la virgule près, ce que je fais. Ça correspond à ma personnalité, et tout le monde n’a pas ma personnalité, et heureusement d’ailleurs.
− Nicolas, si on veut te retrouver, qu’est-ce qu’on fait ? Ou on va ? Dis-nous. Comment on peut te contacter, regarder tes vidéos, suivre ce que tu fais ?
− Pour suivre mes contenus, vous allez soit sur Instagram, soit sur YouTube, soit sur son site internet, c’est automaticbnb.fr. Et donc là, vous allez avoir tous les trucs et astuces pour optimiser et automatiser votre location courte durée. Et si vous voulez me contacter personnellement, c’est sur contact@automaticbnb.fr. Comme je le dis régulièrement, c’est moi qui réponds personnellement, donc peut-être, vous allez m’envoyer un message aujourd’hui, je vais vous répondre que dans 10 jours, parce qu’il n’y a personne d’autre qui répond à ma place. Et vu que je reçois beaucoup de mails, j’essaie d’apporter une réponse étayée à vos mails. Ça peut prendre un certain temps, mais dans tous les cas, vous aurez une réponse. Donc si vous voulez me contacter personnellement, c’est contact@automaticbnb.fr. Si vous voulez suivre du contenu, c’est sur YouTube, Instagram, page Facebook, et mon site internet qui s’appelle automaticbnb.fr.
− Et si on a un propriétaire qui nous regarde, et qui se dit : « Je confierai bien mon appart à Nicolas pour qu’il en fasse de la sous-location. »Est-ce qu’il peut te contacter ?
− Il peut me contacter. Moi, comme je disais, par contre, au début, je le fais dans trois villes bien précises, trois secteurs bien précis ! Donc si cette personne est dans le secteur bien précis dans lequel je suis, ce sera avec grand plaisir. Si je ne suis pas dans le secteur, je pourrai toujours le mettre en relation, s’il le souhaite, avec d’autres personnes que je connais, et qui pourraient correspondre un peu plus à son secteur. Mon objectif, ce n’est pas de partir dans tous les sens, justement, pour garder cette flexibilité, et puis ce temps libre que j’ai. Parce que pour avoir ce temps libre, comme je disais, j’ai une équipe derrière, et mon équipe est sur des secteurs bien précis. L’idée aussi, c’est de faire un travail de qualité, donc je ne vais pas dire oui à un propriétaire juste pour lui faire plaisir. Par contre, avec grand plaisir. Je l’accompagnerai, je l’aiderai à trouver soit un autre sous-loueur, ou à l’inverse, si c’est dans mon secteur, je viendrai visiter le bien avec grand plaisir, je le rencontrerai avec grand plaisir. Et si on peut faire affaire, ce sera également avec grand plaisir.
− Génial, super. Écoutes, je mettrai tous les liens dont tu as parlé, donc le lien de ta chaîne YouTube,
− Je mettrais ton email juste en dessous, en barre d’infos, comme ça, vous n’aurez plus qu’à cliquer si vous souhaitez vous abonner à la chaîne de Nicolas, qui est super intéressante. Donc, n’hésitez pas à aller le voir, ou lui écrire directement. Merci beaucoup, Nicolas, pour tout ce que tu nous as partagé. C’était hyper intéressant.
− Encore merci à toi pour ton invitation, et puis comme je le dis à tous, il faut juste passer à l’action maintenant.
− Top, super. C’est un bon mot de la fin.
Si jamais, côté J’affiche Complet, vous n’êtes pas encore dans notre groupe Facebook qui s’appelle location saisonnière prix et maximisation du chiffre d’affaires, je vous mettrai aussi le lien juste en dessous. Nicolas, il est aussi avec nous dans ce groupe. Donc, n’hésitez pas à nous retrouver et du coup, moi je vous dis à jeudi.
− Merci encore à Nicolas d’avoir été avec nous aujourd’hui.
Je vous dis à bientôt pour la prochaine vidéo.